Qu’appréciez-vous le plus chez FiveForty° ?
JM : La capacité à comprendre qui nous sommes, nos contraintes, notre rythme d’entreprise donc leur adaptabilité à cet environnement très mouvant.
Julien Martel : Erytech est une société bio pharmaceutique
en stade clinique qui développe des thérapies innovantes
dans les formes rares de cancer et de maladies orphelines.
Nous fabriquons des médicaments dont nous évaluons l’efficacité et la tolérance sur des populations de malades à qui ils seront destinés.
En stade clinique … ?
JM : Oui, ce sont les niveaux d’évaluation appelés phases, généralement gradués de I à III, ce dernier consistant à comparer l’efficacité du traitement par rapport au traitement standard. Il existe aussi après une phase IV qui correspond à des essais post AMM, l’autorisation de mise sur le marché.
Quelles étaient vos attentes avant d’entamer cette collaboration ?
JM : Depuis un an, Dynamics 365 FO était en place dans l’entreprise pour la partie finance. Pour autant, l’intégrateur initial ne répondait pas à nos attentes en termes de suivi et de flexibilité. Nous avons alors cherché une structure plus agile offrant un réel sur mesure qui répondrait au plus juste aux attentes de nos différents métiers. Une offre réellement personnalisée était donc notre tout premier critère.
Comment en êtes-vous arrivé à travailler avec FiveForty° ?
JM : Nous avons d’abord fait un test avec la présence d’un consultant pendant dix jours en time boxing* dans nos locaux à Lyon. Le premier jour, une liste de sujets lui a été fournie avec un bilan de réalisation à l’issue de la décade. Dans les délais impartis, nous avons constaté qu’une réponse avait été apportée à chaque besoin. Soit directement par la bonne solution, soit par une estimation cohérente et performante de ce qu’il fallait entreprendre pour résoudre le point.
Au fond qu’est-ce qui a motivé vos choix ?
JM : La "période d’essai" imposée a été des plus convaincante. Elle a débloqué en dix jours des sujets qui traînaient chez nous depuis des mois et qui irritaient nos métiers.
Quel premier bilan pouvez-vous tirer de cette collaboration ?
JM : On a maintenant le partenaire de confiance sur lequel s’appuyer. Et au-delà du support "quick win" de nos débuts, nous leur confions maintenant des projets d’évolution et de déploiement. Nous avons en face de nos métiers des experts qui nous permettent de construire un système répondant à nos exigences.
Selon vous, quels sont les points d’amélioration que vous pourriez envisager ?
JM : Régulièrement, tous les six mois environ nous faisons des bilans axés sur l’amélioration de notre relation. De même, nous communiquons rapidement lorsqu’un point ne nous convient pas. Que ce soit dans un sens ou dans l’autre. Difficile donc de répondre à cette question quand l’amélioration continue est un process déjà en place.
Si vous deviez recommander FiveForty° que diriez-vous ?
JM : Choisir FiveForty°, c’est choisir l’efficacité. Ils apportent
à Erytech la valeur où elle est requise.
Sur quoi inviteriez-vous à être vigilant?
JM : S’assurer que les mentalités et les façons de travailler
de l’entreprise sont compatibles. Dans notre cas, FiveForty°
est d’abord une bonne rencontre qui a évolué et qui me donne aujourd’hui le sentiment que l’on co-construit.
En quoi FiveForty° est-il différent ?
JM : Le service apporté par FiveForty° est beaucoup plus personnalisé que tous ceux que j’ai pu connaître jusqu’à présent.
Trois mots pour les résumer ?
JM : Flexibilité, proximité, professionnalisme.
Sur une échelle de 1 à 5 quelle note donneriez-vous à votre relation ?
JM : Cinq !
(*) - Time boxing : gestion d'un travail par blocs de temps
Plus court, plus vite
Julien Martel : Erytech est une société bio pharmaceutique en stade clinique qui développe des thérapies innovantes dans les formes rares de cancer et de maladies orphelines. Nous fabriquons des médicaments dont nous évaluons l’efficacité et la tolérance sur des populations de malades à qui ils seront destinés.
A tel point d’ailleurs qu’il ne le quittera qu’à l’âge de trente-trois ans. Son père lui explique
que pour être tranquille dans la vie, il faut être sérieux. Il l’est. Mais à l’orée de la seconde,
la motivation décline. Un conseiller le remotive en lui parlant d’un BEP de comptabilité.
Obtenu brillamment, il rattrape sa route vers un bac G2 où la compta est reine.
Les résultats sont bons. On conseille à Michel de s’orienter vers de longues études.
Mais lui préfère un parcours plus court pour entrer plus vite dans la vie active.
Sa décision est prise, ce sera un BTS. Il enchaîne ensuite sur une maîtrise de gestion.
Comptable en uniforme
En stade clinique … ?
JM : Oui, ce sont les niveaux d’évaluation appelés phases, généralement gradués de I à III, ce dernier consistant à comparer l’efficacité du traitement par rapport au traitement standard. Il existe aussi après une phase IV qui correspond à des essais post AMM, l’autorisation de mise sur le marché.
Et puis il a aussi des contraintes, notamment celles du service militaire "Pendant dix mois, à Montauban puis Vincennes" reprend Michel. Là, il endosse l’uniforme du comptable pour
s’occuper de la solde du contingent. "J’étais chanceux avec ce poste tranquille après des classes plus rugueuses", précise-t-il. Juste après l’armée, la chance l’attend encore dans une agence d’intérim. On lui propose de remplacer au poste de comptable une collaboratrice qui s’est cassée la jambe. "En fait, le PMU me met le pied à l’étrier", s’amuse Michel. Il y restera trois ans. Puis d’autres horizons s’ouvrent à lui. Notamment publicitaires chez Publicis Conseil.
Des sociétés de services l’accueillent. Jusqu’à Kaba. Ce spécialiste des portes coulissantes lui ouvre les siennes. "Souhaitant renouveler leur système d’information, ils avaient besoin de mon expérience pour être accompagnés dans ce changement". Les solutions du marché ne plaisent pas à Michel. C’est alors que des consultants de Navision viennent le voir. Leur offre plait au Directeur comptable de Michel et l’implémentation est mise place avec succès. Michel ayant découvert le métier de consultant est tenté par l’activité. Intéressé par la compétence comptable de Michel, Navision lui propose de le former au consulting.
Puis Michel entre chez Colombus, intégrateur AX. Les projets s’enchaînent, spécialement
chez Saint-Gobain Glass. Ensuite, il entre chez Avanade et quelques années plus tard
il intègre l’ESN Viseo.
Quelles étaient vos attentes avant d’entamer cette collaboration ?
JM : Depuis un an, Dynamics 365 FO était en place dans l’entreprise pour la partie finance. Pour autant, l’intégrateur initial ne répondait pas à nos attentes en termes de suivi et de flexibilité. Nous avons alors cherché une structure plus agile offrant un réel sur mesure qui répondrait au plus juste aux attentes de nos différents métiers. Une offre réellement personnalisée était donc notre tout premier critère.
Premiers contacts
Deux ans après, Flexmind le contacte avec un argument décisif : "Ici tu n’auras pas une kyrielle de projets mais un seul, important et captivant". C’est ainsi que Michel démarre en 2012 sur le projet Geodis et fait la connaissance de nombre de ses collègues d’aujourd’hui. En 2017, il quitte le salariat pour le statut d’indépendant et opère pour le groupe Saur. "Pendant ce temps, Geodis s’était séparé de Flexmind pour rejoindre FiveForty°. Jonathan m’appelle pour me proposer de reprendre en sous-traitant sur Geodis en conservant mon nouveau statut", résume le consultant finance Dynamics.
"De toute façon, quand Jonathan a voulu monter sa structure, je n’ai pas hésité une seule seconde". Celui que la chance n’a jamais lâché précise : "Ici, on ne sent pas le poids de la structure, l’aspect famille est palpable. Ce lien social ajouté à la diversité des clients, c’est ce qui donne envie de bosser avec eux".°
Comment en êtes-vous arrivé à travailler avec FiveForty ?
JM : Nous avons d’abord fait un test avec la présence d’un consultant pendant dix jours en time boxing* dans nos locaux à Lyon. Le premier jour, une liste de sujets lui a été fournie avec un bilan de réalisation à l’issue de la décade. Dans les délais impartis, nous avons constaté qu’une réponse avait été apportée à chaque besoin. Soit directement par la bonne solution, soit par une estimation cohérente et performante de ce qu’il fallait entreprendre pour résoudre le point.
Au fond, qu’est-ce qui a motivé votre choix ?
JM : La "période d’essai" imposée a été des plus convaincante. Elle a débloqué en dix jours des sujets qui traînaient chez nous depuis des mois et qui irritaient nos métiers.
Quel premier bilan pouvez-vous tirer de cette collaboration ?
JM : On a maintenant le partenaire de confiance sur lequel s’appuyer. Et au-delà du support "quick win" de nos débuts, nous leur confions maintenant des projets d’évolution et de déploiement. Nous avons en face de nos métiers des experts qui nous permettent de construire un système répondant à nos exigences.
Qu’appréciez-vous le plus chez FiveForty° ?
JM : La capacité à comprendre qui nous sommes, nos contraintes, notre rythme d’entreprise donc leur adaptabilité à cet environnement très mouvant.
Selon vous, quels sont les points d’amélioration que vous pourriez envisager ?
JM : Régulièrement, tous les six mois environ nous faisons des bilans axés sur l’amélioration de notre relation. De même, nous communiquons rapidement lorsqu’un point ne nous convient pas. Que ce soit dans un sens ou dans l’autre. Difficile donc de répondre à cette question quand l’amélioration continue est un process déjà en place.
Si vous deviez recommander FiveForty° que diriez-vous ?
JM : Choisir FiveForty, c’est choisir l’efficacité. Ils apportent à Erytech la valeur où elle est requise.
Sur quoi inviteriez-vous à être vigilant?
JM : S’assurer que les mentalités et les façons de travailler de l’entreprise sont compatibles. Dans notre cas, FiveForty est d’abord une bonne rencontre qui a évolué et qui me donne aujourd’hui le sentiment que l’on co-construit.
En quoi FiveForty° est-il différent ?
JM : Le service apporté par FiveForty est beaucoup plus personnalisé que tous ceux que j’ai pu connaître jusqu’à présent.
Trois mots pour les résumer ?
JM : Flexibilité, proximité, professionnalisme.
Sur une échelle de 1 à 5 quelle note donneriez-vous à votre relation ?
JM : Cinq !
(*) - Time Boxing : gestion d’un travail par blocs de temps
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