"Personnel et professionnel, mon parcours est du genre atypique",
nous apprend Alexander.
La Hollande, le Brésil, la Belgique, les Etats-Unis et enfin retour en France.
Jusqu’à l’âge de treize ans, Alexander voit du pays. Son père ingénieur
dans de grandes sociétés internationales entraîne sa famille dans son
sillage. Dès l’origine, le ton était donné : un Hollandais rencontra une
lyonnaise en Espagne, et c’est en Bretagne que le petit Alexander verra
le jour du côté de Guingamp.
Bonne étoile
"Personnel et professionnel, mon parcours est du genre atypique", nous apprend Alexander.
La Hollande, le Brésil, la Belgique, les Etats-Unis et enfin retour en France. Jusqu’à l’âge de treize ans, Alexander voit du pays. Son père ingénieur dans de grandes sociétés internationales entraîne sa famille dans son sillage. Dès l’origine, le ton était donné : un Hollandais rencontra une lyonnaise en Espagne, et c’est en Bretagne que le petit Alexander verra le jour du côté de Guingamp.
"FiveForty° est en pleine expansion, c’est une ESN attractive aussi bien
pour un débutant qui a tout à y gagner que pour des spécialistes qui
pourront toujours monter en compétences sur des clients très diversifiés".
Avec enthousiasme, Michel nous dépeint son cadre de travail. On lui
demande alors d’évoquer sa scolarité. "Je suis un repris de justesse", confie
Michel avec un clin d’œil. A son élocution très rapide assortie d’un ton
enjoué, on imagine facilement un enfant turbulent, toujours prêt à faire
les quatre cents coups. Pas du tout. C’est un garçon sage qui se souvient
d’une enfance heureuse dansun cocon familial douillet.
D’une école à une autre, de pays en pays, Alexander se souvient : "Même si à la maison on
parlait plutôt le français, c’est à treize ans que j’ai appris à le lire et à l’écrire." Aujourd’hui,
Alexander ajoute le hollandais et l’anglais à la langue de Molière. Il pourrait aussi retrouver
facilement le brésilien de son enfance. Au Brésil, Alexander évolue dans un monde
contrasté entre parties de foot avec les copains des favelas et contacts avec une société
plus favorisée. Une expérience de contextes internationaux qu’Alexander décrit comme
une chance : "Cela m’a donné une ouverture d’esprit avec une capacité à m’adapter et
à communiquer avec les autres. Un atout dans la vie et dans le travail." Mais comment
en est-il arrivé aux progiciels informatiques de pointe ?
Au pays de Descartes, un professeur repère chez l’enfant des qualités cartésiennes.
Il conseille une orientation où les chiffres et l’analyse seront dominants. Pourquoi pas
la comptabilité ? Alexander trace son sillon. S’en suivront des postes de comptable, compta
générale et compta publique pendant 20 ans. "Mais là encore, mon parcours n’est pas
si linéaire", intervient Alexander. En effet, à vingt et un ans, il créé sa société dans la région
de Saumur. Son cœur de métier : l’ingénierie de l’emballage à haute valeur ajoutée.
SERTIC est spécialisée dans le concept des éco recharges. Après de belles années, les
difficultés administratives et commerciales prennent le dessus en 2003. Alexander enchaîne
alors une série de jobs. En parallèle, il décide de compléter sa formation initiale en
comptabilité par un IUT de Gestion en cours du soir. Avec un niveau bac+4, il intègre
Smurfit Kappa, leader de l’emballage et retrouve un monde qu’il connaît bien.
Après quelques années, l’envie de vivre autre chose se fait jour. Au long de son parcours,
Alexander a eu l’occasion de travailler sur des outils ERP comme les solutions Dynamics
exploités par FiveForty°. Il est contacté par Avanade. L’ESN est à la recherche de personnes
capables de comprendre le besoin client et de le traduire en langage informatique. L’offre
va ouvrir à Alexander les portes du consulting. "Ils étaient intéressés par mon expérience
technique et métier qui me permettait de dialoguer avec leurs clients, des experts, qu’ils
soient comptables, DAF ou fiscalistes", indique Alexander. Why not, se dit le polyglotte.
Une belle expérience. Mais à la longue, le stress notamment des clôtures revient à date fixe,
dans un environnement à la hiérarchie très marquée. "Avec 20. 000 salariés, le contact avec
le management n’est pas simple", souligne Alexander. Il est temps pour lui de passer à autre
chose… Chez FiveForty°.
Chez Avanade, il rencontre Ahmed. Celui-ci parle de lui à Diana, en charge
des premières sélections. Son profil plait là où esprit d’ouverture et partage sont les
maîtres mots. Un premier échange très constructif avec Diana est suivi d’un second entretien
avec Alexandre dans un restaurant. Peu après Il fait la connaissance des trois autres associés.
Alexander partage l’envie commune de vivre une belle aventure à taille humaine avec les
meilleures technologies. Il note aussi l’entre-aide chez FiveForty°. "Avec les directeurs de
projets, on discute, on établit les priorités. Et si on a un bug technique, c’est allo Ahmed !
On est une équipe, tous à l’écoute, solidaires." Alexander apprécie aussi la facilité d’accès des
managers. Il raconte : "un client créait des situations organisationnelles très compliquées.
En en parlant directement avec Alexandre et Jonathan, les solutions ont très vite été trouvées
ensemble." Ces jours-ci, Alexander développe des sujets de process métiers sur un nouvel ERP.
Ces fiches de soutien sont à la disposition de ses collègues dans Dev Ops dont Amel organise
les contenus et assure le suivi.
Alexander est aujourd’hui un papa bien occupé avec Maxine et Amélie ses deux princesses.
Elles peuvent compter sur lui pour l’école et les activités. Plus jeune pour lui, le sport était roi.
En natation, il a été médaillé de bronze aux Pays Bas en relais 200m quatre nages.
L’équitation ? Longtemps son dada aussi. A la demande d’un ami instructeur, il montait les
chevaux du Cadre Noir de Saumur pour les sortir. Puis ce fut la moto. Plus tard, les princesses
exigeant un carrosse, il fallut passer à la voiture. Très amateur de sport automobile d’ailleurs,
on le retrouve chaque année aux 24 Heures du Mans… Bref, plus que jamais Alexander est prêt
à relever tous les défis.°
Plus court, plus vite
D’une école à une autre, de pays en pays, Alexander se souvient : "Même si à la maison on parlait plutôt le français, c’est à treize ans que j’ai appris à le lire et à l’écrire." Aujourd’hui, Alexander ajoute le hollandais et l’anglais à la langue de Molière. Il pourrait aussi retrouver facilement le brésilien de son enfance. Au Brésil, Alexander évolue dans un monde contrasté entre parties de foot avec les copains des favelas et contacts avec une société plus favorisée. Une expérience de contextes internationaux qu’Alexander décrit comme une chance : "Cela m’a donné une ouverture d’esprit avec une capacité à m’adapter et à communiquer avec les autres. Un atout dans la vie et dans le travail." Mais comment en est-il arrivé aux progiciels informatiques de pointe ?
A tel point d’ailleurs qu’il ne le quittera qu’à l’âge de trente-trois ans. Son père lui explique
que pour être tranquille dans la vie, il faut être sérieux. Il l’est. Mais à l’orée de la seconde,
la motivation décline. Un conseiller le remotive en lui parlant d’un BEP de comptabilité.
Obtenu brillamment, il rattrape sa route vers un bac G2 où la compta est reine.
Les résultats sont bons. On conseille à Michel de s’orienter vers de longues études.
Mais lui préfère un parcours plus court pour entrer plus vite dans la vie active.
Sa décision est prise, ce sera un BTS. Il enchaîne ensuite sur une maîtrise de gestion.
Comptable en uniforme
Et puis il a aussi des contraintes, notamment celles du service militaire "Pendant dix mois, à Montauban puis Vincennes" reprend Michel. Là, il endosse l’uniforme du comptable pour
s’occuper de la solde du contingent. "J’étais chanceux avec ce poste tranquille après des classes plus rugueuses", précise-t-il. Juste après l’armée, la chance l’attend encore dans une agence d’intérim. On lui propose de remplacer au poste de comptable une collaboratrice qui s’est cassée la jambe. "En fait, le PMU me met le pied à l’étrier", s’amuse Michel. Il y restera trois ans. Puis d’autres horizons s’ouvrent à lui. Notamment publicitaires chez Publicis Conseil.
Des sociétés de services l’accueillent. Jusqu’à Kaba. Ce spécialiste des portes coulissantes lui ouvre les siennes. "Souhaitant renouveler leur système d’information, ils avaient besoin de mon expérience pour être accompagnés dans ce changement". Les solutions du marché ne plaisent pas à Michel. C’est alors que des consultants de Navision viennent le voir. Leur offre plait au Directeur comptable de Michel et l’implémentation est mise place avec succès. Michel ayant découvert le métier de consultant est tenté par l’activité. Intéressé par la compétence comptable de Michel, Navision lui propose de le former au consulting.
Puis Michel entre chez Colombus, intégrateur AX. Les projets s’enchaînent, spécialement
chez Saint-Gobain Glass. Ensuite, il entre chez Avanade et quelques années plus tard
il intègre l’ESN Viseo.
Au pays de Descartes, un professeur repère chez l’enfant des qualités cartésiennes. Il conseille une orientation où les chiffres et l’analyse seront dominants. Pourquoi pas la comptabilité ? Alexander trace son sillon. S’en suivront des postes de comptable, compta générale et compta publique pendant 20 ans. "Mais là encore, mon parcours n’est pas si linéaire", intervient Alexander. En effet, à vingt et un ans, il créé sa société dans la région de Saumur. Son cœur de métier : l’ingénierie de l’emballage à haute valeur ajoutée. SERTIC est spécialisée dans le concept des éco recharges. Après de belles années, les difficultés administratives et commerciales prennent le dessus en 2003. Alexander enchaîne alors une série de jobs. En parallèle, il décide de compléter sa formation initiale en comptabilité par un IUT de Gestion en cours du soir. Avec un niveau bac+4, il intègre Smurfit Kappa, leader de l’emballage et retrouve un monde qu’il connaît bien.
Premiers contacts
Deux ans après, Flexmind le contacte avec un argument décisif : "Ici tu n’auras pas une kyrielle de projets mais un seul, important et captivant". C’est ainsi que Michel démarre en 2012 sur le projet Geodis et fait la connaissance de nombre de ses collègues d’aujourd’hui. En 2017, il quitte le salariat pour le statut d’indépendant et opère pour le groupe Saur. "Pendant ce temps, Geodis s’était séparé de Flexmind pour rejoindre FiveForty°. Jonathan m’appelle pour me proposer de reprendre en sous-traitant sur Geodis en conservant mon nouveau statut", résume le consultant finance Dynamics.
"De toute façon, quand Jonathan a voulu monter sa structure, je n’ai pas hésité une seule seconde". Celui que la chance n’a jamais lâché précise : "Ici, on ne sent pas le poids de la structure, l’aspect famille est palpable. Ce lien social ajouté à la diversité des clients, c’est ce qui donne envie de bosser avec eux".°
Après quelques années, l’envie de vivre autre chose se fait jour. Au long de son parcours, Alexander a eu l’occasion de travailler sur des outils ERP comme les solutions Dynamics exploités par FiveForty°.
Il est contacté par Avanade. L’ESN est à la recherche de personnes capables de comprendre le besoin client et de le traduire en langage informatique. L’offre va ouvrir à Alexander les portes du consulting. "Ils étaient intéressés par mon expérience technique et métier qui me permettait de dialoguer avec leurs clients, des experts, qu’ils soient comptables, DAF ou fiscalistes", indique Alexander. Why not, se dit le polyglotte. Une belle expérience. Mais à la longue, le stress notamment des clôtures revient à date fixe, dans un environnement à la hiérarchie très marquée. "Avec 20 000 salariés, le contact avec le management n’est pas simple", souligne Alexander. Il est temps pour lui de passer à autre chose… Chez FiveForty°.
Chez Avanade, il rencontre Ahmed. Celui-ci parle de lui à Diana, en charge des premières sélections. Son profil plait là où esprit d’ouverture et partage sont les maîtres mots. Un premier échange très constructif avec Diana est suivi d’un second entretien avec Alexandre dans un restaurant. Peu après Il fait la connaissance des trois autres associés. Alexander partage l’envie commune de vivre une belle aventure à taille humaine avec les meilleures technologies. Il note aussi l’entre-aide chez FiveForty°. "Avec les directeurs de projets, on discute, on établit les priorités. Et si on a un bug technique, c’est allo Ahmed ! On est une équipe, tous à l’écoute, solidaires." Alexander apprécie aussi la facilité d’accès des managers. Il raconte : "un client créait des situations organisationnelles très compliquées. En en parlant directement avec Alexandre et Jonathan, les solutions ont très vite été trouvées ensemble." Ces jours-ci, Alexander développe des sujets de process métiers sur un nouvel ERP. Ces fiches de soutien sont à la disposition de ses collègues dans Dev Ops dont Amel organise les contenus et assure le suivi.
Alexander est aujourd’hui un papa bien occupé avec Maxine et Amélie ses deux princesses. Elles peuvent compter sur lui pour l’école et les activités. Plus jeune pour lui, le sport était roi. En natation, il a été médaillé de bronze aux Pays Bas en relais 200m quatre nages. L’équitation ? Longtemps son dada aussi. A la demande d’un ami instructeur, il montait les chevaux du Cadre Noir de Saumur pour les sortir. Puis ce fut la moto. Plus tard, les princesses exigeant un carrosse, il fallut passer à la voiture. Très amateur de sport automobile d’ailleurs, on le retrouve chaque année aux 24 Heures du Mans… Bref, plus que jamais Alexander est prêt à relever tous les défis.°
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