Bonne étoile
S’il se rappelle de son premier contact avec l’informatique ? La réponse ne tarde pas : "J’avais autour de huit ans, mon frère me donne son ancienne console de jeux, j’ai été électrisé, et la passion des jeux ne m’a plus quittée", se souvient Arthur, aujourd’hui consultant fonctionnel finance.
A partir de là, Arthur va développer une appétence hors norme pour l’informatique. "Le mercredi après-midi, mon père m’autorisait l’accès à des jeux sur son ordinateur, j’adorais. Je voulais savoir comment ça fonctionnait, j’étais passionné". A seize ans, il monte des ordinateurs de A à Z pour ses amis en fonction de leur budget. "Financièrement c’était plus intéressant pour eux et pour moi ça l’était techniquement", explique Arthur. Et d’une façon générale, il n’est pas du genre à avoir froid aux yeux.
"FiveForty° est en pleine expansion, c’est une ESN attractive aussi bien
pour un débutant qui a tout à y gagner que pour des spécialistes qui
pourront toujours monter en compétences sur des clients très diversifiés".
Avec enthousiasme, Michel nous dépeint son cadre de travail. On lui
demande alors d’évoquer sa scolarité. "Je suis un repris de justesse", confie
Michel avec un clin d’œil. A son élocution très rapide assortie d’un ton
enjoué, on imagine facilement un enfant turbulent, toujours prêt à faire
les quatre cents coups. Pas du tout. C’est un garçon sage qui se souvient
d’une enfance heureuse dansun cocon familial douillet.
S’il se rappelle de son premier contact avec l’informatique ?
La réponse ne tarde pas : "J’avais autour de huit ans, mon frère me
donne son ancienne console de jeux, j’ai été électrisé, et la passion
des jeux ne m’a plus quittée", se souvient Arthur, aujourd’hui
consultant fonctionnel finance.
A partir de là, Arthur va développer une appétence hors norme pour
l’informatique. "Le mercredi après-midi, mon père m’autorisait l’accès
à des jeux sur son ordinateur, j’adorais. Je voulais savoir comment ça
fonctionnait, j’étais passionné." A seize ans, il monte des ordinateurs de A
à Z pour ses amis en fonction de leur budget. "Financièrement c’était plus
intéressant pour eux et pour moi ça l’était techniquement", explique
Arthur. Et d’une façon générale, il n’est pas du genre à avoir froid aux
yeux.
Même dans les températures extrêmes de Montréal en hiver. A la fin des années 90, ses parents
ouvrent un bed and breakfast au Canada. "Les tempêtes sont fréquentes et quand la température
descend sous les - 20°, les autorités conseillent aux gens de rester chez eux. Pas d’école ces jours-là,
se rappelle en souriant Arthur, alors élève de cinquième puis de quatrième. Mais il suffisait d’être
bien couvert et rien ne nous empêchait de jouer dans la neige sans problème !."
De l’ex Nouvelle France, Arthur retient l’ouverture d’esprit de ses habitants, leur dynamisme et une
réelle bienveillance. En lui résonnent encore leur défense de la culture française et une certaine fierté
d’y appartenir. De retour en France, la scolarité se déroule classiquement pour un Arthur curieux de
tout, un rien turbulent qui parfois a du mal à résister au craquage de boules puantes en classe.
Rien qui ne l’empêchera toutefois d’obtenir un master en système d’information à Sophia Antipolis.
A la suite de ses études, un ami lui donne un contact chez Avanade. Là, il découvre le métier de
l’intégration de progiciel ERP. Il travaille sur Geodis aux côtés d’un consultant extérieur de Flexmind,
Jonathan. Un lien se crée. Leurs routes se séparent puis se croiseront à nouveau. Plus tard, Arthur
optera pour Flexmind, à taille plus humaine, que Jonathan quittera juste avant son arrivée.
Quelques années plus tard Arthur se lance en indépendant et mène quelques missions, sans être
réellement occupé à temps plein. Jonathan le contacte alors pour une mission d'un an. Arthur
intègre l’écosystème de FiveForty° et n’arrive pas en terra incognita. "J’avais déjà eu l’occasion de
travailler avec Jérôme sur Geodis. Ainsi qu’avec Hervé, Amel et Michel. Je me sentais donc à l’aise",
complète Arthur. Aujourd’hui, le jeune consultant travaille à nouveau sur Geodis, là encore en terrain
connu. "J’avais déjà eu l’expérience de la solution Geodis dans le passé. C’est une solution vraiment
très spécifique et c’est un réel avantage d’en connaître les tenants et les aboutissants." Aujourd’hui,
des sujets transverses l’occupent également comme les bases de données SQL ou la rédaction de
spécifications liées au domaine finance. Dans son travail, Arthur aimerait pouvoir passer moins de
temps derrière les écrans, mais réaliste, il ajoute : "il y aura toujours des livrables qui rendent ce temps
incompressible." En revanche, ce qu’il apprécie dans son travail, c’est la nouveauté permanente :
"Même s’il s’agit toujours de finance, c’est stimulant ; ce n’est jamais la même chose d’un client à un
autre."
En toute situation, Arthur connaît la musique. Même en dehors du travail. Son activité de DJ, passion
qu’il partage avec son amie Mélanie, en atteste. Ensemble, ils animent des soirées dans des bars ou sur
des péniches en rassemblant parfois jusqu’à 400 personnes. "On joue notamment les musiques
de 1998 de Chicago et celles des US. Des rythmes issus d’une culture afro-américaine qui a su sampler des
standards funk et jazz sans les dénaturer et qui font instantanément battre du pied", précise ce
spécialiste du BPM* qui, sans nul doute, n’a pas fini de faire danser les chiffres. °
(*) : ici Beats Per Minute, indicateur de tempo.
Plus court, plus vite
Même dans les températures extrêmes de Montréal en hiver. A la fin des années 90, ses parents ouvrent un bed and breakfast au Canada. "Les tempêtes sont fréquentes et quand la température descend sous les - 20°, les autorités conseillent aux gens de rester chez eux. Pas d’école ces jours-là, se rappelle en souriant Arthur, alors élève de cinquième puis de quatrième. Mais il suffisait d’être bien couvert et rien ne nous empêchait de jouer dans la neige sans problème !."
De l’ex Nouvelle France, Arthur retient l’ouverture d’esprit de ses habitants, leur dynamisme et une réelle bienveillance. En lui résonnent encore leur défense de la culture française et une certaine fierté d’y appartenir. De retour en France, la scolarité se déroule classiquement pour un Arthur curieux de tout, un rien turbulent qui parfois a du mal à résister au craquage de boules puantes en classe. Rien qui ne l’empêchera toutefois d’obtenir un master en système d’information à Sophia Antipolis.
A tel point d’ailleurs qu’il ne le quittera qu’à l’âge de trente-trois ans. Son père lui explique
que pour être tranquille dans la vie, il faut être sérieux. Il l’est. Mais à l’orée de la seconde,
la motivation décline. Un conseiller le remotive en lui parlant d’un BEP de comptabilité.
Obtenu brillamment, il rattrape sa route vers un bac G2 où la compta est reine.
Les résultats sont bons. On conseille à Michel de s’orienter vers de longues études.
Mais lui préfère un parcours plus court pour entrer plus vite dans la vie active.
Sa décision est prise, ce sera un BTS. Il enchaîne ensuite sur une maîtrise de gestion.
Comptable en uniforme
Et puis il a aussi des contraintes, notamment celles du service militaire "Pendant dix mois, à Montauban puis Vincennes" reprend Michel. Là, il endosse l’uniforme du comptable pour
s’occuper de la solde du contingent. "J’étais chanceux avec ce poste tranquille après des classes plus rugueuses", précise-t-il. Juste après l’armée, la chance l’attend encore dans une agence d’intérim. On lui propose de remplacer au poste de comptable une collaboratrice qui s’est cassée la jambe. "En fait, le PMU me met le pied à l’étrier", s’amuse Michel. Il y restera trois ans. Puis d’autres horizons s’ouvrent à lui. Notamment publicitaires chez Publicis Conseil.
Des sociétés de services l’accueillent. Jusqu’à Kaba. Ce spécialiste des portes coulissantes lui ouvre les siennes. "Souhaitant renouveler leur système d’information, ils avaient besoin de mon expérience pour être accompagnés dans ce changement". Les solutions du marché ne plaisent pas à Michel. C’est alors que des consultants de Navision viennent le voir. Leur offre plait au Directeur comptable de Michel et l’implémentation est mise place avec succès. Michel ayant découvert le métier de consultant est tenté par l’activité. Intéressé par la compétence comptable de Michel, Navision lui propose de le former au consulting.
Puis Michel entre chez Colombus, intégrateur AX. Les projets s’enchaînent, spécialement
chez Saint-Gobain Glass. Ensuite, il entre chez Avanade et quelques années plus tard
il intègre l’ESN Viseo.
A la suite de ses études, un ami lui donne un contact chez Avanade. Là, il découvre le métier de l’intégration de progiciel ERP. Il travaille sur Geodis aux côtés d’un consultant extérieur de Flexmind, Jonathan. Un lien se crée. Leurs routes se séparent puis se croiseront à nouveau. Plus tard, Arthur optera pour Flexmind, à taille plus humaine, que Jonathan quittera juste avant son arrivée.
Quelques années plus tard Arthur se lance en indépendant et mène quelques missions, sans être réellement occupé à temps plein. Jonathan le contacte alors pour une mission d'un an. Arthur intègre l’écosystème de FiveForty° et n’arrive pas en terra incognita. "J’avais déjà eu l’occasion de travailler avec Jérôme sur Geodis. Ainsi qu’avec Hervé, Amel et Michel. Je me sentais donc à l’aise", complète Arthur. Aujourd’hui, le jeune consultant travaille à nouveau sur Geodis, là encore en terrain connu. "J’avais déjà eu l’expérience de la solution Geodis dans le passé. C’est une solution vraiment très spécifique et c’est un réel avantage d’en connaître les tenants et les aboutissants." Aujourd’hui, des sujets transverses l’occupent également comme les bases de données SQL ou la rédaction de spécifications liées au domaine finance. Dans son travail, Arthur aimerait pouvoir passer moins de temps derrière les écrans, mais réaliste, il ajoute : "il y aura toujours des livrables qui rendent ce temps incompressible." En revanche, ce qu’il apprécie dans son travail, c’est la nouveauté permanente : "Même s’il s’agit toujours de finance, c’est stimulant ; ce n’est jamais la même chose d’un client à un autre."
Premiers contacts
Deux ans après, Flexmind le contacte avec un argument décisif : "Ici tu n’auras pas une kyrielle de projets mais un seul, important et captivant". C’est ainsi que Michel démarre en 2012 sur le projet Geodis et fait la connaissance de nombre de ses collègues d’aujourd’hui. En 2017, il quitte le salariat pour le statut d’indépendant et opère pour le groupe Saur. "Pendant ce temps, Geodis s’était séparé de Flexmind pour rejoindre FiveForty°. Jonathan m’appelle pour me proposer de reprendre en sous-traitant sur Geodis en conservant mon nouveau statut", résume le consultant finance Dynamics.
"De toute façon, quand Jonathan a voulu monter sa structure, je n’ai pas hésité une seule seconde". Celui que la chance n’a jamais lâché précise : "Ici, on ne sent pas le poids de la structure, l’aspect famille est palpable. Ce lien social ajouté à la diversité des clients, c’est ce qui donne envie de bosser avec eux".°
En toute situation, Arthur connaît la musique. Même en dehors du travail. Son activité de DJ, passion qu’il partage avec son amie Mélanie, en atteste. Ensemble, ils animent des soirées dans des bars ou sur des péniches en rassemblant parfois jusqu’à 400 personnes. "On joue notamment les musiques de 1998 de Chicago et celles des US. Des rythmes issus d’une culture afro-américaine qui a su sampler des standards funk et jazz sans les dénaturer et qui font instantanément battre du pied", précise ce spécialiste du BPM* qui, sans nul doute, n’a pas fini de faire danser les chiffres.°
(*) : ici Beats Per Minute, indicateur de tempo.
Paris - FRANCE / New York - USA
©2021 FiveForty°. Tous Droits Réservés.
Conception et réalisation :