La nature est un gigantesque laboratoire.
Elle sélectionne les évolutions les plus adaptées à leur environnement.
L’entreprise bionique par excellence, c’est celle qui saura s’inspirer au mieux
des systèmes biologiques pour optimiser ses performances.
Par définition, la bionique est la science qui s’inspire des
capacités des organismes vivants pour développer des
technologies qui répondent à des problématiques auxquelles
la nature a été confrontée durant des millions d’années.
Tout repose sur l'étude attentive des systèmes biologiques afin
de développer par biomimétisme des solutions techniques.
Depuis toujours, la nature est une source d’inspiration pour
l’homme. Et notamment pour un certain Léonard de Vinci.
De nos jours, dans tous les domaines, on retrouve des
applications technologiques de procédés mis en place par des
organismes vivants : les surfaces imperméables copient les
propriétés hydrophobes des fleurs de lotus ou des plumes de
canards ; le TGV japonais a la forme du bec du martin-pêcheur
afin de perforer l’air et de limiter les frottements ; les éoliennes
perfectionnées en nageoires de baleines augmentent de 20 %
la production d’énergie ; les papillons de nuit sont à l’origine
des écrans qui ne fatiguent pas les yeux ; le gekko a inspiré l’un
des adhésifs les plus puissants ; la peau des requins est à
l’origine de combinaisons de plongée ; les revêtements
d’avions, plus performants, comme les lucioles ont éclairé la
technologie des LED, etc.
Quels enseignements peuvent tirer les entreprises des
systèmes ingénieux présents dans la nature afin d’optimiser
leurs performances, tout en adoptant une stratégie permettant
une gestion durable de leurs ressources ?
Dans la nature, un processus de sélection est à l’origine
de la diversité des espèces et de leur adaptation à leur
environnement. Les individus évoluent en permanence et leurs
mutations sont soumises à leur biotope immédiat. Lors de la
reproduction, les variations qui apportent une plus-value sont
retenues. Les individus les plus adaptés sont généralement
les plus aptes à se reproduire et, au final, il ne reste que les
individus disposant de la nouvelle évolution génétique.
Pour les entreprises, un phénomène de sélection similaire est
à l’œuvre. L’environnement économique et la compétition
testent en permanence la robustesse du modèle économique
des entreprises. Celles qui sont les moins performantes
disparaissent à plus ou moins brève échéance. Il s’agit alors
pour les entreprises de définir un cadre propice à l’innovation,
afin de rester à la pointe de leur secteur d’activité.
Dans le livre blanc publié par BCG (Boston Consulting Group)
“How to lead differently in the workplace of the future”, les
auteurs identifient les critères qui définissent une organisation
bionique. Cette fois, ce n’est pas la définition classique du mot
“bionique” qui est utilisée, mais une approche différente pour
se développer de manière durable, en se préservant de la
“sélection” darwinienne. Cette dernière doit combiner trois
éléments :
• Une organisation agile, qui fait de la collaboration et du
transfert d’information la base de tout travail afin de faciliter
la prise de décisions.
• Une gestion intelligente des ressources, et notamment des
ressources humaines : parmi les nouveaux enjeux,
le recrutement et la formation des nouveaux talents, afin de
perdurer dans le temps en valorisant les compétences les plus
adaptées.
• Une adaptation aux nouveaux espaces de travail, avec
notamment la prise en compte des nouveaux paradigmes de
télétravail ou de flex offices, tout en intégrant les technologies
les plus avancées dans le quotidien des employés.
Le mythe prométhéen et l’intelligence humaine
Dans la mythologie grecque, l’homme est le seul animal qui n’a pas reçu d’attribut physique de la part des dieux. Pour donner une chance de survie à l’homme, Prométhée décide de lui faire don d’un attribut divin, un brin du char du Soleil : le feu. Dans le mythe, le feu est comparable à l’intelligence, permettant aux hommes de maîtriser les techniques et de fabriquer les outils nécessaires à leur survie.
Dans la réalité, on constate que la technologie s’inspire grandement de l’homme. Que cela concerne le machine learning ou encore l’intelligence artificielle, il s’agit de biomimétisme du fonctionnement du cerveau humain. On essaie de recréer de l’intelligence, l’homme se débarrasse alors progressivement des tâches opérationnelles qui sont automatisées grâce à l’IA, ce qui
lui laisse plus de temps pour les tâches plus créatives et la prise de décision.
L’ERP est une solution qui regroupe toutes les fonctionnalités
permettant de gérer l’ensemble des processus opérationnels
d’une entreprise, facilitant ainsi la gestion et la prise de décision.
Peut-on alors continuer de piloter son entreprise à l’instinct
quand l’ERP, système nerveux central de l’entreprise, procure
toutes les clés nécessaires pour faire des choix appuyés sur la
raison.
L’ERP, ou Enterprise Resource Planning, reprend des processus
que l’on trouve dans les “organisations” animales et végétales.
Entreprise et symbiose
Dans la nature, on remarque un phénomène de symbiose entre
les différentes espèces animales qui s’apportent une aide
mutuelle afin d’améliorer leurs conditions de vie.
Le poisson-clown, par exemple, témoigne de ce phénomène.
Ce dernier livre le surplus de nourriture dont il dispose
à l’anémone de mer en échange de la sécurité d’un camouflage
dans le récif.
La floraison est aussi un modèle de symbiose : les insectes
assurent la reproduction des plantes tandis qu’ils y gagnent
du pollen. Dans la nature, les exemples sont innombrables.
La symbiose est l’exacte opposée de la compétition : elle évite
des dommages aux deux espèces qui s’affrontent.
En entreprise, les collaborateurs doivent adopter un état
d’esprit de symbiose entre les différents départements.
Les Sales doivent communiquer avec le Marketing. Il faut éviter
Gestion des ressources
La ruche des abeilles est l’un des systèmes biologiques ayant
l’organisation la plus efficace pour optimiser ses ressources,
qu’elles soient matérielles ou animales.
Chaque individu joue un rôle particulier au cours de sa vie lui
permettant d’assurer le bon fonctionnement de la ruche et lui
garantir un futur. Au niveau des ressources, les abeilles mettent
en œuvre instinctivement un principe de frugalité. La forme
alvéolaire si particulière de la ruche permet l’économie de
matière et facilite l’entretien et la durabilité de l’édifice.
En entreprise, il faut penser de la même manière en allouant les
ressources en fonction des besoins.
En gestion des ressources animales, les abeilles ont mis en
place une structure alvéolaire en rhombe. Les larves se trouvent
donc côte à côte, séparées par une fine cloison, ce qui favorise
la conservation de chaleur. En entreprise, il faut aussi penser à
des stratégies RH de bon développement et d’épanouissement
des jeunes talents afin qu’ils soient le futur de l’entreprise.
Pour les abeilles, la fabrication du miel n’est pas la fin en soi :
c’est la survie et le bon fonctionnement de la ruche qui est la
priorité. En entreprise, il faut aussi partager une vision claire de
la croissance aux employés pour un bon fonctionnement sur le
long terme.
Emmanuel Delannoy, directeur de l’institut Inspire (Initiative pour la promotion d’une industrie réconciliée avec l’écologie
et la société), explique :
“L’approche du biomimétisme n’est pas seulement technologique, elle est également philosophique. Elle doit permettre de repenser l’organisation des entreprises pour se concentrer sur la coopération, sur les complémentarités et sur l’adaptation qui permettent de créer des cercles vertueux. Parfois, l’innovation ne passe pas par la technologie. Par
exemple, pour repenser la mobilité aujourd’hui, il ne faut
pas réinventer la voiture, mais de nouveaux modes de déplacements, comme l’autopartage.”
Planifier pour prévoir
Tout comme les animaux disposent de cet instinct naturel,
il est essentiel pour une entreprise d’anticiper ses besoins tout
autant que la répartition des tâches. De manière générale, le
biomimétisme nous montre que le vivant possède un instinct
qui lui permet d’anticiper et de planifier les tâches. On peut
penser aux animaux qui font des réserves pour anticiper le
manque de nourriture en hiver. L’homme en entreprise a
également besoin de planifier pour anticiper au mieux ses
besoins. L’ERP permet, là encore, de se doter d’un outil de
pilotage pour définir à travers le temps le rôle de chaque
collaborateur, en communiquant efficacement. Cela facilite
aussi le télétravail grâce à la disponibilité des données.
En s’inspirant du vivant, les entreprises bioniques préfigurent
l’avenir du travail et garantissent leur propre futur. Reproduire
des mécanismes qui ont fait leurs preuves dans la nature
revient à assurer une continuité pour toute organisation dans
un environnement mutant en permanence. Dans cette
perspective, l’ERP constitue une des solutions adaptées afin
d’assurer une prise de décision optimale à travers le temps.
Avec, à la clé, la création des conditions d’une symbiose parfaite
entre collaborateurs, partenaires et clients finaux dans une
vision durable de l’entreprise.
Sources :
Adopter un mode de pensée systémique pour devenir une entreprise bionique (itforbusiness.fr)
10 fois où la Nature a inspiré la technologie | Hitek
L’entreprise bionique, avenir du travail | Les Echos
How to lead differently in the workplace of the future (le livre blanc BCG en PDF)
Agnès Guillot, Jean-Arcady Meyer La bionique. Quand la science imite la nature, Dunod, coll. UniverSciences, 2008
Bionique — Wikipédia (wikipedia.org)
Biomimétisme : cinq inventions géniales inspirées par la nature (nouvelobs.com)
Plus court, plus vite
La nature est un gigantesque laboratoire. Elle sélectionne les évolutions les plus adaptées à leur environnement. L’entreprise bionique par excellence, c’est celle qui saura s’inspirer au mieux des systèmes biologiques pour optimiser ses performances.
Par définition, la bionique est la science qui s’inspire des capacités des organismes vivants pour développer des technologies qui répondent à des problématiques auxquelles la nature a été confrontée durant des millions d’années. Tout repose sur l'étude attentive des systèmes biologiques afin de développer par biomimétisme des solutions techniques.
Depuis toujours, la nature est une source d’inspiration pour l’homme. Et notamment pour un certain Léonard de Vinci. De nos jours, dans tous les domaines, on retrouve des applications technologiques de procédés mis en place par des organismes vivants : les surfaces imperméables copient les propriétés hydrophobes des fleurs de lotus ou des plumes de canards ; le TGV japonais a la forme du bec du martin-pêcheur afin de perforer l’air et de limiter les frottements ; les éoliennes perfectionnées en nageoires de baleines augmentent de 20 % la production d’énergie ; les papillons de nuit sont à l’origine des écrans qui ne fatiguent pas les yeux ; le gekko a inspiré l’un des adhésifs les plus puissants ; la peau des requins est à l’origine de combinaisons de plongée ; les revêtements d’avions, plus performants, comme les lucioles ont éclairé la technologie des LED, etc.
Quels enseignements peuvent tirer les entreprises des systèmes ingénieux présents dans la nature afin d’optimiser leurs performances, tout en adoptant une stratégie permettant une gestion durable de leurs ressources ?
Dans la nature, un processus de sélection est à l’origine de la diversité des espèces et de leur adaptation à leur environnement. Les individus évoluent en permanence et leurs mutations sont soumises à leur biotope immédiat. Lors de la reproduction, les variations qui apportent une plus-value sont retenues. Les individus les plus adaptés sont généralement les plus aptes à se reproduire et, au final, il ne reste que les individus disposant de la nouvelle évolution génétique.
Pour les entreprises, un phénomène de sélection similaire est à l’œuvre. L’environnement économique et la compétition testent en permanence la robustesse du modèle économique des entreprises. Celles qui sont les moins performantes disparaissent à plus ou moins brève échéance. Il s’agit alors pour les entreprises de définir un cadre propice à l’innovation, afin de rester à la pointe de leur secteur d’activité.
Dans le livre blanc publié par BCG (Boston Consulting Group) “How to lead differently in the workplace of the future”, les auteurs identifient les critères qui définissent une organisation bionique. Cette fois, ce n’est pas la définition classique du mot “bionique” qui est utilisée, mais une approche différente pour se développer de manière durable, en se préservant de la “sélection” darwinienne. Cette dernière doit combiner trois éléments :
• Une organisation agile, qui fait de la collaboration et du transfert d’information la base de tout travail afin de faciliter la prise de décisions.
• Une gestion intelligente des ressources, et notamment des ressources humaines : parmi les nouveaux enjeux, le recrutement et la formation des nouveaux talents, afin de perdurer dans le temps en valorisant les compétences les plus adaptées.
• Une adaptation aux nouveaux espaces de travail, avec notamment la prise en compte des nouveaux paradigmes de télétravail ou de flex offices, tout en intégrant les technologies les plus avancées dans le quotidien des employés.
Le mythe prométhéen
et l’intelligence humaine
Dans la mythologie grecque, l’homme est le seul animal qui n’a pas reçu d’attribut physique de la part des dieux. Pour donner une chance de survie à l’homme, Prométhée décide de lui faire don d’un attribut divin, un brin du char du Soleil : le feu. Dans le mythe, le feu est comparable à l’intelligence, permettant aux hommes de maîtriser les techniques et de fabriquer les outils nécessaires à leur survie.
Dans la réalité, on constate que la technologie s’inspire grandement de l’homme. Que cela concerne le machine learning ou encore l’intelligence artificielle, il s’agit de biomimétisme du fonctionnement du cerveau humain. On essaie de recréer de l’intelligence, l’homme se débarrasse alors progressivement des tâches opérationnelles qui sont automatisées grâce à l’IA, ce qui lui laisse plus de temps pour les tâches plus créatives et la prise de décision.
L’ERP est une solution qui regroupe toutes les fonctionnalités permettant de gérer l’ensemble des processus opérationnels d’une entreprise, facilitant ainsi la gestion et la prise de décision. Peut-on alors continuer de piloter son entreprise à l’instinct quand l’ERP, système nerveux central de l’entreprise, procure toutes les clés nécessaires pour faire des choix appuyés sur la raison.
L’ERP, ou Enterprise Resource Planning, reprend des processus que l’on trouve dans les “organisations” animales et végétales.
Entreprise et symbiose
Dans la nature, on remarque un phénomène de symbiose entre les différentes espèces animales qui s’apportent une aide mutuelle afin d’améliorer leurs conditions de vie. Le poisson-clown, par exemple, témoigne de ce phénomène. Ce dernier livre le surplus de nourriture dont il dispose à l’anémone de mer en échange de la sécurité d’un camouflage dans le récif. La floraison est aussi un modèle de symbiose : les insectes assurent la reproduction des plantes tandis qu’ils y gagnent du pollen. Dans la nature, les exemples sont innombrables.
La symbiose est l’exacte opposée de la compétition : elle évite des dommages aux deux espèces qui s’affrontent. En entreprise, les collaborateurs doivent adopter un état d’esprit de symbiose entre les différents départements. Les Sales doivent communiquer avec le Marketing. Il faut éviter au maximum les cloisons entre les collaborateurs et les challenges interservices.
Gestion des ressources
La ruche des abeilles est l’un des systèmes biologiques ayant l’organisation la plus efficace pour optimiser ses ressources, qu’elles soient matérielles ou animales.
Chaque individu joue un rôle particulier au cours de sa vie lui permettant d’assurer le bon fonctionnement de la ruche et lui garantir un futur. Au niveau des ressources, les abeilles mettent en œuvre instinctivement un principe de frugalité. La forme alvéolaire si particulière de la ruche permet l’économie de matière et facilite l’entretien et la durabilité de l’édifice. En entreprise, il faut penser de la même manière en allouant les ressources en fonction des besoins.
En gestion des ressources animales, les abeilles ont mis en place une structure alvéolaire en rhombe. Les larves se trouvent donc côte à côte, séparées par une fine cloison, ce qui favorise la conservation de chaleur. En entreprise, il faut aussi penser à des stratégies RH de bon développement et d’épanouissement des jeunes talents afin qu’ils soient le futur de l’entreprise.
Pour les abeilles, la fabrication du miel n’est pas la fin en soi : c’est la survie et le bon fonctionnement de la ruche qui est la priorité. En entreprise, il faut aussi partager une vision claire de la croissance aux employés pour un bon fonctionnement sur le long terme.
Emmanuel Delannoy, directeur de l’institut Inspire (Initiative pour la promotion d’une industrie réconciliée avec l’écologie et la société), explique :
“L’approche du biomimétisme n’est pas seulement technologique, elle est également philosophique. Elle doit permettre de repenser l’organisation des entreprises pour se concentrer sur la coopération, sur les complémentarités et sur l’adaptation qui permettent de créer des cercles vertueux. Parfois, l’innovation ne passe pas par la technologie. Par exemple, pour repenser la mobilité aujourd’hui, il ne faut pas réinventer la voiture, mais de nouveaux modes de déplacements, comme l’autopartage.”
Planifier pour prévoir
Tout comme les animaux disposent de cet instinct naturel, il est essentiel pour une entreprise d’anticiper ses besoins tout autant que la répartition des tâches. De manière générale, le biomimétisme nous montre que le vivant possède un instinct qui lui permet d’anticiper et de planifier les tâches. On peut penser aux animaux qui font des réserves pour anticiper le manque de nourriture en hiver. L’homme en entreprise a également besoin de planifier pour anticiper au mieux ses besoins. L’ERP permet, là encore, de se doter d’un outil de pilotage pour définir à travers le temps le rôle de chaque collaborateur, en communiquant efficacement. Cela facilite aussi le télétravail grâce à la disponibilité des données.
A tel point d’ailleurs qu’il ne le quittera qu’à l’âge de trente-trois ans. Son père lui explique
que pour être tranquille dans la vie, il faut être sérieux. Il l’est. Mais à l’orée de la seconde,
la motivation décline. Un conseiller le remotive en lui parlant d’un BEP de comptabilité.
Obtenu brillamment, il rattrape sa route vers un bac G2 où la compta est reine.
Les résultats sont bons. On conseille à Michel de s’orienter vers de longues études.
Mais lui préfère un parcours plus court pour entrer plus vite dans la vie active.
Sa décision est prise, ce sera un BTS. Il enchaîne ensuite sur une maîtrise de gestion.
Comptable en uniforme
Et puis il a aussi des contraintes, notamment celles du service militaire "Pendant dix mois, à Montauban puis Vincennes" reprend Michel. Là, il endosse l’uniforme du comptable pour
s’occuper de la solde du contingent. "J’étais chanceux avec ce poste tranquille après des classes plus rugueuses", précise-t-il. Juste après l’armée, la chance l’attend encore dans une agence d’intérim. On lui propose de remplacer au poste de comptable une collaboratrice qui s’est cassée la jambe. "En fait, le PMU me met le pied à l’étrier", s’amuse Michel. Il y restera trois ans. Puis d’autres horizons s’ouvrent à lui. Notamment publicitaires chez Publicis Conseil.
Des sociétés de services l’accueillent. Jusqu’à Kaba. Ce spécialiste des portes coulissantes lui ouvre les siennes. "Souhaitant renouveler leur système d’information, ils avaient besoin de mon expérience pour être accompagnés dans ce changement". Les solutions du marché ne plaisent pas à Michel. C’est alors que des consultants de Navision viennent le voir. Leur offre plait au Directeur comptable de Michel et l’implémentation est mise place avec succès. Michel ayant découvert le métier de consultant est tenté par l’activité. Intéressé par la compétence comptable de Michel, Navision lui propose de le former au consulting.
Puis Michel entre chez Colombus, intégrateur AX. Les projets s’enchaînent, spécialement
chez Saint-Gobain Glass. Ensuite, il entre chez Avanade et quelques années plus tard
il intègre l’ESN Viseo.
Premiers contacts
Deux ans après, Flexmind le contacte avec un argument décisif : "Ici tu n’auras pas une kyrielle de projets mais un seul, important et captivant". C’est ainsi que Michel démarre en 2012 sur le projet Geodis et fait la connaissance de nombre de ses collègues d’aujourd’hui. En 2017, il quitte le salariat pour le statut d’indépendant et opère pour le groupe Saur. "Pendant ce temps, Geodis s’était séparé de Flexmind pour rejoindre FiveForty°. Jonathan m’appelle pour me proposer de reprendre en sous-traitant sur Geodis en conservant mon nouveau statut", résume le consultant finance Dynamics.
"De toute façon, quand Jonathan a voulu monter sa structure, je n’ai pas hésité une seule seconde". Celui que la chance n’a jamais lâché précise : "Ici, on ne sent pas le poids de la structure, l’aspect famille est palpable. Ce lien social ajouté à la diversité des clients, c’est ce qui donne envie de bosser avec eux".°
En s’inspirant du vivant, les entreprises bioniques préfigurent l’avenir du travail et garantissent leur propre futur. Reproduire des mécanismes qui ont fait leurs preuves dans la nature revient à assurer une continuité pour toute organisation dans un environnement mutant en permanence. Dans cette perspective, l’ERP constitue une des solutions adaptées afin d’assurer une prise de décision optimale à travers le temps. Avec, à la clé, la création des conditions d’une symbiose parfaite entre collaborateurs, partenaires et clients finaux dans une vision durable de l’entreprise.
Sources :
Adopter un mode de pensée systémique pour devenir une entreprise bionique (itforbusiness.fr)
10 fois où la Nature a inspiré la technologie | Hitek
L’entreprise bionique, avenir du travail | Les Echos
How to lead differently in the workplace of the future (le livre blanc BCG en PDF)
Agnès Guillot, Jean-Arcady Meyer La bionique. Quand la science imite la nature, Dunod, coll. UniverSciences, 2008
Bionique — Wikipédia (wikipedia.org)
Biomimétisme : cinq inventions géniales inspirées par la nature (nouvelobs.com)
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