Pour fonctionner de manière pérenne, l’entreprise, nommée aussi société,
ne saurait être en dissonance avec celle des hommes, source de ses forces vives.
Dans un monde plus que jamais évolutif, composite, divers, interconnecté… quelle
entreprise pourrait s’inscrire dans ce mouvement sans le refléter ?
A l’équateur, la Terre tourne sur elle-même à 1 666 km/h et,
dans le même temps, autour du Soleil à environ 100 000 km/h.
Lui-même orbitant autour du centre de la galaxie à 850 000
km/h. Quant à notre Voie Lactée, elle file dans l’espace à 2
millions de km/h. En d’autres mots, le monde bouge.
Cela ne date pas d’hier et ne s’arrêtera pas avant quelques
cinq milliards d’années et des poussières… d’étoiles. Revenons
à l’univers de l’entreprise. Pour appréhender l’avenir du travail,
celle-ci doit s’inscrire dans une perspective dynamique qui
intègre toutes les caractéristiques de la société, émergeantes
ou installées. En cela, l’inclusion est une clé d’adaptation
déterminante. On le verra aussi, c’est à la fois un levier de
mutation sociétale et un facteur de croissance puissant.
Le 10 juillet 1987, une loi est votée. Elle oblige les entreprises
de plus de vingt salariés à recruter au moins 6% de personnes
handicapées. Trente-quatre ans plus tard, la jauge au niveau
national ne s’établit qu’à 3,6% indique Anne Revillard dans son
ouvrage "Handicap et Travail". Mais pour l’Agefiph, l’Association
de gestion du fonds pour l’insertion professionnelle des personnes handicapées, la situation s’améliore. Dix ans en
arrière, seul un tiers des entreprises accueillaient au moins
une personne en situation de handicap contre neuf sur dix
aujourd’hui. A savoir que 80% des personnes ont un handicap
invisible. Pour autant, 65% des personnes en situation de
handicap n’ont toujours pas d’emploi en France.
De nos jours, l’entreprise inclusive est au cœur des
préoccupations sociétales et environnementales.
La politique d’inclusion vise la lutte contre les discriminations
liées au handicap, c’est entendu, mais aussi à celles de l’âge,
du genre, de l’origine sociale, culturelle, ethnique ou à
l’orientation sexuelle. La crise sanitaire a accru cette sensibilité
à l’altérité de façon notoire. La prise en compte de l’autre dans
un contexte où les solidarités s’expriment remet en perspective
la réflexion sur l’inclusion. En 2019, lors du G7 de Biarritz,
34 grandes sociétés se sont réunies autour de la coalition
"Business for Inclusive Growth". L’idée : proposer un modèle plus égalitaire au sein de leurs organisations. Une initiative
importante qui invite les entreprises, quelles que soient leur taille,
à suivre le mouvement. De leur côté, plus de 100 grands patrons de filiales signaient le "Manifeste Inclusion" pendant qu’une dizaine
de filiales de multinationales publiaient une tribune en faveur de l’emploi des jeunes et des migrants.
Mais l’enfer reste pavé de bonnes intentions et de nombreux
points restent à régler. L’écart salarial entre hommes et femmes par exemple. Il stagne à 24%, il était de 25% en 2002.
Même "pain point" au niveau de l’emploi. Certains secteurs sont
loin de représenter la moitié de la population que forment les
femmes. Dans la tech par exemple, elles ne sont que 10% des
effectifs. Pour les pilotes de lignes, Air France, avec quelques
300 femmes sur environ 3 800 pilotes, se classe plutôt
au-dessus de la moyenne, située entre 6 et 7% au niveau
mondial. Dans le monde, seulement 14,3% des entreprises
présentent un conseil d’administration paritaire. De leur côté,
les comités exécutifs du SBF 120 ne comptent que 15%
de femmes. Pourtant, les études documentent qu’une
proportion équilibrée entre hommes et femmes dans l’entreprise est un facteur de meilleur fonctionnement.
Il en est de même dans les conseils d’administration, où se
constate l’accroissement des performances.
Les neurosciences expliquent ce fait par l’apport fertile de la
mixité dans le développement de l’entreprise.
Au-delà des logiques de in-out ou de quotas, que nous dit
l’entreprise inclusive ? L’étude Deloitte nous apprend que
l’entreprise qui mène cette politique génère 30% de C.A
supplémentaire par salarié. Elles ont même 60% de chances
de plus que celles ne menant pas de politiques inclusives ou
RSE de voir leurs profits et leurs productivités augmenter. La lecture de cette enquête révèle que pour les DRH et dirigeants
interrogés, l’impact sociétal (dont la diversité et l’inclusion) est
désormais considéré comme le premier facteur d’évaluation
de réussite et de performance d’une organisation.
Près de 80% d’entre eux considèrent que la diversité et
l’inclusion se révèlent être des avantages compétitifs.
Au passage, notons que pour Apple en 2021, 10% du bonus
de ses dirigeants sera corrélé à des critères sociaux et
environnementaux. Déjà en 2016, une étude France Stratégies
montrait que la démarche RSE augmentait de 13% la
performance de l’entreprise. Pour le Bureau International
du Travail, les entreprises inclusives jouissent d’une meilleure
réputation, attirent davantage les talents pour engendrer
davantage de créativité et d’innovation. En ces temps de
COVID, l’imagination a porté ses effets sur la réorientation des
productions de ces entreprises. Telle Decathlon qui a
reconfiguré ses masques de plongée respirants en matériels
médicaux.
David Mahé de Human and Work souligne que le vrai défi de
l’entreprise inclusive n’est pas tant le recrutement imposé que
la question de l’inclusion dans le travail. L’inclusion génère
de la motivation, enrichit les stratégies et crée du lien social.
Ce spécialiste des ressources humaines invite à repenser la
perspective du métier de RH. Faut-il se concentrer sur la
sélection de champions et aggraver les conséquences de la
guerre des talents et créer toujours plus de pénurie ?
Avec à la clé l’inflation salariale sur des profils toujours
identiques, de plus en plus rares et volatils. Ces recrutements
non mixtes et monocolores se résument au final à une fabrique
de clones, aggravant encore les inégalités préexistantes.
Pour Stéphane Roussel, "ne pas travailler sur l’inclusion de
profils divers, c’est à la fois se priver des compétences et des
talents individuels, mais aussi ne pas comprendre la façon
dont fonctionne l’intelligence collective d’une entreprise",
pointe le PDG de GameLoft. Il ajoute : "Imaginer un jeu vidéo
destiné à un large public passe par la constitution d’équipes
composées de talents qui réfléchissent différemment et se
complètent".
Inclure, c’est aussi investir sur les soft skills, ces compétences
de comportement, émotionnels et relationnels, qui aident les
gens à mieux travailler ensemble et à se sentir bien tout au long de leur carrière. David Mahé liste des savoir-faire autant utiles à
l’inclusion et donc à l’efficacité de l’entreprise : "l’intelligence
émotionnelle, l’empathie, la gestion du stress, l’autonomie
dans l’apprentissage, la capacité à résoudre des problèmes…".
Une entreprise inclusive crée donc les conditions pour que les
personnes puissent développer leurs potentiels en s’appuyant
sur les différences qu’elles apportent. Témoin d’une mutation
sociétale profonde, l’école. Autrefois, on demandait aux élèves
de s’adapter à l’institution. Désormais, même s’il reste
beaucoup à faire, l’école se donne souvent les moyens de
s’adapter à l’élève pénalisé par le handicap ou la maladie par
exemple. En d’autres mots, l’entreprise doit refléter la diversité
sociale pour être en phase, avancer avec la société et être
attractive.
Pour conclure, l’entreprise inclusive porte des changements de
paradigmes de plus en plus partagés. Ce courant de fond, aux
antipodes d’un effet de mode, amène à se recentrer plus que
jamais sur l’humain considéré comme un tout incluant la
personne, les autres, le travail et la santé. C’est par des relations
humaines énergisées de nouvelles impulsions inclusives que les
collaborateurs pourront développer une fierté d’appartenance,
une motivation partagée et la confiance dans leur organisation.
Sources : France Inter, Lemonde.fr, Humanandwork.com, Maddyness, France3 Région, Novethic.fr, Umontpellier.fr, Revue Visa Platinum Business
Plus court, plus vite
Pour fonctionner de manière pérenne, l’entreprise, nommée aussi société, ne saurait être en dissonance avec celle des hommes, source de ses forces vives.
Dans un monde plus que jamais évolutif, composite, divers, interconnecté… quelle entreprise pourrait s’inscrire dans ce mouvement sans le refléter ?
A l’équateur, la Terre tourne sur elle-même à 1 666 km/h et, dans le même temps, autour du Soleil à environ 100 000 km/h. Lui-même orbitant autour du centre de la galaxie à 850 000 km/h. Quant à notre Voie Lactée, elle file dans l’espace à 2 millions de km/h. En d’autres mots, le monde bouge. Cela ne date pas d’hier et ne s’arrêtera pas avant quelques cinq milliards d’années et des poussières… d’étoiles. Revenons à l’univers de l’entreprise. Pour appréhender l’avenir du travail, celle-ci doit s’inscrire dans une perspective dynamique qui intègre toutes les caractéristiques de la société, émergeantes ou installées. En cela, l’inclusion est une clé d’adaptation déterminante. On le verra aussi, c’est à la fois un levier de mutation sociétale et un facteur de croissance puissant.
A tel point d’ailleurs qu’il ne le quittera qu’à l’âge de trente-trois ans. Son père lui explique
que pour être tranquille dans la vie, il faut être sérieux. Il l’est. Mais à l’orée de la seconde,
la motivation décline. Un conseiller le remotive en lui parlant d’un BEP de comptabilité.
Obtenu brillamment, il rattrape sa route vers un bac G2 où la compta est reine.
Les résultats sont bons. On conseille à Michel de s’orienter vers de longues études.
Mais lui préfère un parcours plus court pour entrer plus vite dans la vie active.
Sa décision est prise, ce sera un BTS. Il enchaîne ensuite sur une maîtrise de gestion.
Comptable en uniforme
Le 10 juillet 1987, une loi est votée. Elle oblige les entreprises de plus de vingt salariés à recruter au moins 6% de personnes handicapées. Trente-quatre ans plus tard, la jauge au niveau national ne s’établit qu’à 3,6% indique Anne Revillard dans son ouvrage "Handicap et Travail". Mais pour l’Agefiph, l’Association de gestion du fonds pour l’insertion professionnelle des personnes handicapées, la situation s’améliore. Dix ans en arrière, seul un tiers des entreprises accueillaient au moins une personne en situation de handicap contre neuf sur dix aujourd’hui. A savoir que 80% des personnes ont un handicap invisible. Pour autant, 65% des personnes en situation de handicap n’ont toujours pas d’emploi en France.
Et puis il a aussi des contraintes, notamment celles du service militaire "Pendant dix mois, à Montauban puis Vincennes" reprend Michel. Là, il endosse l’uniforme du comptable pour
s’occuper de la solde du contingent. "J’étais chanceux avec ce poste tranquille après des classes plus rugueuses", précise-t-il. Juste après l’armée, la chance l’attend encore dans une agence d’intérim. On lui propose de remplacer au poste de comptable une collaboratrice qui s’est cassée la jambe. "En fait, le PMU me met le pied à l’étrier", s’amuse Michel. Il y restera trois ans. Puis d’autres horizons s’ouvrent à lui. Notamment publicitaires chez Publicis Conseil.
Des sociétés de services l’accueillent. Jusqu’à Kaba. Ce spécialiste des portes coulissantes lui ouvre les siennes. "Souhaitant renouveler leur système d’information, ils avaient besoin de mon expérience pour être accompagnés dans ce changement". Les solutions du marché ne plaisent pas à Michel. C’est alors que des consultants de Navision viennent le voir. Leur offre plait au Directeur comptable de Michel et l’implémentation est mise place avec succès. Michel ayant découvert le métier de consultant est tenté par l’activité. Intéressé par la compétence comptable de Michel, Navision lui propose de le former au consulting.
Puis Michel entre chez Colombus, intégrateur AX. Les projets s’enchaînent, spécialement
chez Saint-Gobain Glass. Ensuite, il entre chez Avanade et quelques années plus tard
il intègre l’ESN Viseo.
Premiers contacts
Deux ans après, Flexmind le contacte avec un argument décisif : "Ici tu n’auras pas une kyrielle de projets mais un seul, important et captivant". C’est ainsi que Michel démarre en 2012 sur le projet Geodis et fait la connaissance de nombre de ses collègues d’aujourd’hui. En 2017, il quitte le salariat pour le statut d’indépendant et opère pour le groupe Saur. "Pendant ce temps, Geodis s’était séparé de Flexmind pour rejoindre FiveForty°. Jonathan m’appelle pour me proposer de reprendre en sous-traitant sur Geodis en conservant mon nouveau statut", résume le consultant finance Dynamics.
"De toute façon, quand Jonathan a voulu monter sa structure, je n’ai pas hésité une seule seconde". Celui que la chance n’a jamais lâché précise : "Ici, on ne sent pas le poids de la structure, l’aspect famille est palpable. Ce lien social ajouté à la diversité des clients, c’est ce qui donne envie de bosser avec eux".°
De nos jours, l’entreprise inclusive est au cœur des préoccupations sociétales et environnementales. La politique d’inclusion vise la lutte contre les discriminations liées au handicap, c’est entendu, mais aussi à celles de l’âge, du genre, de l’origine sociale, culturelle, ethnique ou à l’orientation sexuelle. La crise sanitaire a accru cette sensibilité à l’altérité de façon notoire. La prise en compte de l’autre dans un contexte où les solidarités s’expriment remet en perspective la réflexion sur l’inclusion. En 2019, lors du G7 de Biarritz, 34 grandes sociétés se sont réunies autour de la coalition "Business for Inclusive Growth". L’idée : proposer un modèle plus égalitaire au sein de leurs organisations. Une initiative importante qui invite les entreprises, quelles que soient leur taille, à suivre le mouvement. De leur côté, plus de 100 grands patrons de filiales signaient le "Manifeste Inclusion" pendant qu’une dizaine de filiales de multinationales publiaient une tribune en faveur de l’emploi des jeunes et des migrants.
Mais l’enfer reste pavé de bonnes intentions et de nombreux points restent à régler. L’écart salarial entre hommes et femmes par exemple. Il stagne à 24%, il était de 25% en 2002. Même "pain point" au niveau de l’emploi. Certains secteurs sont loin de représenter la moitié de la population que forment les femmes. Dans la tech par exemple, elles ne sont que 10% des effectifs. Pour les pilotes de lignes, Air France, avec quelques 300 femmes sur environ 3 800 pilotes, se classe plutôt au-dessus de la moyenne, située entre 6 et 7% au niveau mondial. Dans le monde, seulement 14,3% des entreprises présentent un conseil d’administration paritaire. De leur côté, les comités exécutifs du SBF 120 ne comptent que 15% de femmes. Pourtant, les études documentent qu’une proportion équilibrée entre hommes et femmes dans l’entreprise est un facteur de meilleur fonctionnement. Il en est de même dans les conseils d’administration, où se constate l’accroissement des performances. Les neurosciences expliquent ce fait par l’apport fertile de la mixité dans le développement de l’entreprise.
Au-delà des logiques de in-out ou de quotas, que nous dit l’entreprise inclusive ? L’étude Deloitte nous apprend que l’entreprise qui mène cette politique génère 30% de C.A supplémentaire par salarié. Elles ont même 60% de chances de plus que celles ne menant pas de politiques inclusives ou RSE de voir leurs profits et leurs productivités augmenter. La lecture de cette enquête révèle que pour les DRH et dirigeants interrogés, l’impact sociétal (dont la diversité et l’inclusion) est désormais considéré comme le premier facteur d’évaluation de réussite et de performance d’une organisation. Près de 80% d’entre eux considèrent que la diversité et l’inclusion se révèlent être des avantages compétitifs. Au passage, notons que pour Apple en 2021, 10% du bonus de ses dirigeants sera corrélé à des critères sociaux et environnementaux. Déjà en 2016, une étude France Stratégies montrait que la démarche RSE augmentait de 13% la performance de l’entreprise. Pour le Bureau International du Travail, les entreprises inclusives jouissent d’une meilleure réputation, attirent davantage les talents pour engendrer davantage de créativité et d’innovation. En ces temps de COVID, l’imagination a porté ses effets sur la réorientation des productions de ces entreprises. Telle Decathlon qui a reconfiguré ses masques de plongée respirants en matériels médicaux.
David Mahé de Human and Work souligne que le vrai défi de l’entreprise inclusive n’est pas tant le recrutement imposé que la question de l’inclusion dans le travail. L’inclusion génère de la motivation, enrichit les stratégies et crée du lien social. Ce spécialiste des ressources humaines invite à repenser la perspective du métier de RH. Faut-il se concentrer sur la sélection de champions et aggraver les conséquences de la guerre des talents et créer toujours plus de pénurie ? Avec à la clé l’inflation salariale sur des profils toujours identiques, de plus en plus rares et volatils. Ces recrutements non mixtes et monocolores se résument au final à une fabrique de clones, aggravant encore les inégalités préexistantes. Pour Stéphane Roussel, "ne pas travailler sur l’inclusion de profils divers, c’est à la fois se priver des compétences et des talents individuels, mais aussi ne pas comprendre la façon dont fonctionne l’intelligence collective d’une entreprise", pointe le PDG de GameLoft. Il ajoute : "Imaginer un jeu vidéo destiné à un large public passe par la constitution d’équipes composées de talents qui réfléchissent différemment et se complètent".
Inclure, c’est aussi investir sur les soft skills, ces compétences de comportement, émotionnels et relationnels, qui aident les gens à mieux travailler ensemble et à se sentir bien tout au long de leur carrière. David Mahé liste des savoir-faire autant utiles à l’inclusion et donc à l’efficacité de l’entreprise : "l’intelligence émotionnelle, l’empathie, la gestion du stress, l’autonomie dans l’apprentissage, la capacité à résoudre des problèmes…". Une entreprise inclusive crée donc les conditions pour que les personnes puissent développer leurs potentiels en s’appuyant sur les différences qu’elles apportent. Témoin d’une mutation sociétale profonde, l’école. Autrefois, on demandait aux élèves de s’adapter à l’institution. Désormais, même s’il reste beaucoup à faire, l’école se donne souvent les moyens de s’adapter à l’élève pénalisé par le handicap ou la maladie par exemple. En d’autres mots, l’entreprise doit refléter la diversité sociale pour être en phase, avancer avec la société et être attractive.
Pour conclure, l’entreprise inclusive porte des changements de paradigmes de plus en plus partagés. Ce courant de fond, aux antipodes d’un effet de mode, amène à se recentrer plus que jamais sur l’humain considéré comme un tout incluant la personne, les autres, le travail et la santé. C’est par des relations humaines énergisées de nouvelles impulsions inclusives que les collaborateurs pourront développer une fierté d’appartenance, une motivation partagée et la confiance dans leur organisation.
Sources : France Inter, Lemonde.fr, Humanandwork.com, Maddyness, France3 Région, Novethic.fr, Umontpellier.fr, Revue Visa Platinum Business
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