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Michel Adda

Jérôme Piquot

Ça plane pour lui !

Bonne étoile

Si son quotidien est celui de l’architecture technique, Jérôme est en charge de la R&D chez FiveForty°. 

Spécialiste des performances des systèmes informatiques, expert à ses heures des cuissons sous vide basses températures, il surveille les nouvelles technologies comme le lait sur le feu. Avec un papa responsable des approvisionnements en pièces détachées chez UTA, Jérôme a vécu son enfance dans des lieux très différents. Huit premières années à Tahiti, deux au Gabon puis trois en Angleterre… De quoi se préparer aux environnements et aux langages les plus divers.

"FiveForty° est en pleine expansion, c’est une ESN attractive aussi bien

pour un débutant qui a tout à y gagner que pour des spécialistes qui

pourront toujours monter en compétences sur des clients très diversifiés". 

Avec enthousiasme, Michel nous dépeint son cadre de travail. On lui

demande alors d’évoquer sa scolarité. "Je suis un repris de justesse", confie

Michel avec un clin d’œil. A son élocution très rapide assortie d’un ton

enjoué, on imagine facilement un enfant turbulent, toujours prêt à faire

les quatre cents coups. Pas du tout. C’est un garçon sage qui se souvient

d’une enfance heureuse dansun cocon familial douillet.

Plus court, plus vite

Mort de moore

Au lycée, il prend contact avec l’informatique. Le langage assembleur est un idiome qui lui parle très vite. "A l’époque, il n’y avait pas beaucoup d’ordinateurs, notamment personnels avec 3Ko de mémoire et une capacité de stockage mesurée en Mo…." Cela suffit à piquer l’intérêt du jeune Jérôme qui va orienter sa carrière professionnelle dans l’univers des 0 et des 1. Depuis, les évolutions ont été nombreuses. Selon lui, au-delà du gain de place et de puissance, le tournant de l’évolution se fait avec l’apparition de la souris et de Windows. "Le Mac est arrivé, puis Microsoft sur PC se sont installés dans le paysage", poursuit Jérôme. "Avant, pour lancer une commande, tout ce qu’on avait, c’était un écran noir avec 80 caractères et 25 lignes", se souvient-il. Pour lui, en termes de performances, la vitesse des processeurs se stabilise depuis le début des années 2000. La loi de Moore est obsolète.

A tel point d’ailleurs qu’il ne le quittera qu’à l’âge de trente-trois ans. Son père lui explique

que pour être tranquille dans la vie, il faut être sérieux. Il l’est. Mais à l’orée de la seconde,

la motivation décline. Un conseiller le remotive en lui parlant d’un BEP de comptabilité.

Obtenu brillamment, il rattrape sa route vers un bac G2 où la compta est reine.

Les résultats sont bons. On conseille à Michel de s’orienter vers de longues études.

Mais lui préfère un parcours plus court pour entrer plus vite dans la vie active.

Sa décision est prise, ce sera un BTS. Il enchaîne ensuite sur une maîtrise de gestion.

Comptable en uniforme

Débuts à trous

Et puis il a aussi des contraintes, notamment celles du service militaire "Pendant dix mois, à Montauban puis Vincennes" reprend Michel. Là, il endosse l’uniforme du comptable pour

s’occuper de la solde du contingent. "J’étais chanceux avec ce poste tranquille après des classes plus rugueuses", précise-t-il. Juste après l’armée, la chance l’attend encore dans une agence d’intérim. On lui propose de remplacer au poste de comptable une collaboratrice qui s’est cassée la jambe. "En fait, le PMU me met le pied à l’étrier", s’amuse Michel. Il y restera trois ans. Puis d’autres horizons s’ouvrent à lui. Notamment publicitaires chez Publicis Conseil.

Des sociétés de services l’accueillent. Jusqu’à Kaba. Ce spécialiste des portes coulissantes lui ouvre les siennes. "Souhaitant renouveler leur système d’information, ils avaient besoin de mon expérience pour être accompagnés dans ce changement". Les solutions du marché ne plaisent pas à Michel. C’est alors que des consultants de Navision viennent le voir. Leur offre plait au Directeur comptable de Michel et l’implémentation est mise place avec succès. Michel ayant découvert le métier de consultant est tenté par l’activité. Intéressé par la compétence comptable de Michel, Navision lui propose de le former au consulting.

Puis Michel entre chez Colombus, intégrateur AX. Les projets s’enchaînent, spécialement

chez Saint-Gobain Glass. Ensuite, il entre chez Avanade et quelques années plus tard

il intègre l’ESN Viseo. 

Jérôme se remémore ses débuts héroïques : "J’ai démarré avec les cartes perforées dans un tiroir, puis les bandes magnétiques sont arrivées. Et les imprimantes nous firent une fleur avec les marguerites." Ensuite, les news groups commencent à fleurir à l’orée des années 90 et Jérôme n’est pas le dernier à s’activer sur les ancêtres des blogs. "Les fans de techno côtoyaient d’autres groupes de discussion pas vraiment recommandables… Chacun avait accès au web naissant. Dark avant l’heure", note Jérôme.

Quand, il se retourne sur ses débuts professionnels, l’un des quatre fondateurs de FiveForty° nous dévoile l’identité de son premier employeur : la DGSE. Il y est tenu à une confidentialité de dix ans sur ses activités. Jérôme affecté à la branche militaire explique : "On nous apportaient les bandes d’écoutes des transmissions cryptées du bloc de l’Est. On créait les algorithmes pour décoder les clés de chiffrement pour surveiller les mouvements de troupes." La routine, pendant cinq ans. Mais un jour, surprise. Son service reçoit par erreur une bande qui ne lui est pas destiné. "Les mouvements étaient moins militaires, beaucoup plus intimes. Un directeur d’usine de la RDA dévoilait la liste de ses maîtresses et de ses goûts particuliers…", sourit Jérôme. Puis avec l’envie de découvrir d’autres horizons il crée sa propre SSII. La guerre du Golfe éclate. Tension internationale extrême, intervention US, enjeux pétroliers… L’arrêt brutal des investissements a raison de la jeune SSII. Jérôme devient alors RSI chez un de ses anciens clients Gedimat.

Faits d'armes

Premiers contacts

Deux ans après, Flexmind le contacte avec un argument décisif : "Ici tu n’auras pas une kyrielle de projets mais un seul, important et captivant". C’est ainsi que Michel démarre en 2012 sur le projet Geodis et fait la connaissance de nombre de ses collègues d’aujourd’hui. En 2017, il quitte le salariat pour le statut d’indépendant et opère pour le groupe Saur. "Pendant ce temps, Geodis s’était séparé de Flexmind pour rejoindre FiveForty°. Jonathan m’appelle pour me proposer de reprendre en sous-traitant sur Geodis en conservant mon nouveau statut", résume le consultant finance Dynamics. 

 "De toute façon, quand Jonathan a voulu monter sa structure, je n’ai pas hésité une seule seconde". Celui que la chance n’a jamais lâché précise : "Ici, on ne sent pas le poids de la structure, l’aspect famille est palpable. Ce lien social ajouté à la diversité des clients, c’est ce qui donne envie de bosser avec eux".°

Il écrit lui-même un logiciel de gestion qu’il va développer avant de basculer dix ans plus tard sur un ERP AX Dynamics. Après une quinzaine d’années, Jérôme tente l’aventure du consulting et trouve son premier client aux éditions de La Martinière. Sa mission : développer l’ERP en place. Les clients s’enchaînent. Parmi eux : Geodis, avec un fait d’armes. Architecte technique et développeur, il collabore avec le service IT sur un projet AX piloté par le métier de la division finance. Seul expert de l’équipe opérations de la DSI, il doit gérer un gros problème de traitement de données sur lequel plusieurs sociétés ont été sollicitées en vain. Selon lui le traitement qui nécessitait trente-six heures pouvait être considérablement réduit. 

La division finance convaincue donne le go. Jérôme emploie tout son temps, congés compris à réécrire le principe. "Au final, le traitement s’exécutera en moins d’une minute", résume Jérôme. En parallèle, Jérôme crée Flexmind avec d’autres partenaires. Ce succès va lui permettre de placer jusqu’à vingt personnes chez Geodis. Le décollage de Flexmind est assuré. Après cinq ans chez Flexmind, des divergences de vues en termes de stratégie entraînent Jérôme à revendre ses parts. Il rejoint FiveForty°.

Coup de froid très chaud

Une autre aventure commence, le nouveau Cabinet prend vite de la hauteur. L’ascension, Jérôme en connaît quelques secrets puisque qu’il a longtemps pratiqué le vol à voile. "Il existe deux façons de gagner de l’altitude en planeur", explique-t-il. "Vous tournez à l’intérieur de colonnes d’air chaud ascendant ou vous profitez d’un effet de rebond du vent sur les versants des collines." Pour autant, le vol sans moteur n’est pas toujours le monde de sérénité qu’on imagine. "Alors que nous étions sur le chemin du retour, une pluie verglaçante nous a surpris. L’aérodrome était de l’autre côté de la montagne et nous perdions de l’altitude à cause du poids de la glace accumulée sur les ailes… Là, ça été un peu limite", se souvient l’associé de FiveForty°. 

Ensuite, Jérôme se prend de passion pour la plongée, la moto et la cuisine où il s’est spécialisé aussi dans la fermentation sur longue période des pâtes de cuisson. Mais la passion du métier est la plus forte pour l’architecte système. Au fait des dernières évolutions, soucieux de l’optimisation des technologies et à l’avant-garde de l’innovation, Jérôme participe aujourd’hui à des projets Open Source. Son sujet du moment : les applications distribuées capables de s’appliquer sur plusieurs machines à la fois. "C’est déterminant d’être toujours à la pointe pour bien orienter nos clients quand ces sujets émergeront." ° 

Jérôme Piquot

Ça plane pour lui !

Si son quotidien est celui de l’architecture technique,

Jérôme est en charge de la R&D chez FiveForty°. 

Spécialiste des performances des systèmes informatiques,

expert à ses heures des cuissons sous vide basses températures,

il surveille les nouvelles technologies comme le lait sur le feu.

Avec un papa responsable des approvisionnements en pièces détachées

chez UTA, Jérôme a vécu son enfance dans des lieux très différents.

Huit premières années à Tahiti, deux au Gabon puis trois en Angleterre…

De quoi se préparer aux environnements et aux langages les plus divers.

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Mort de moore

Au lycée, il prend contact avec l’informatique. Le langage assembleur est un idiome

qui lui parle très vite. "A l’époque, il n’y avait pas beaucoup d’ordinateurs, notamment

personnels avec 3Ko de mémoire et une capacité de stockage mesurée en Mo…."

Cela suffit à piquer l’intérêt du jeune Jérôme qui va orienter sa carrière professionnelle

dans l’univers des 0 et des 1. Depuis, les évolutions ont été nombreuses. Selon lui, au-delà

du gain de place et de puissance, le tournant de l’évolution se fait avec l’apparition de la

souris et de Windows. "Le Mac est arrivé, puis Microsoft sur PC se sont installés dans le

paysage", poursuit Jérôme. "Avant, pour lancer une commande, tout ce qu’on avait,

c’était un écran noir avec 80 caractères et 25 lignes", se souvient-il. Pour lui, en termes de

performances, la vitesse des processeurs se stabilise depuis le début des années 2000.

La loi de Moore est obsolète.

Débuts à trous

Jérôme se remémore ses débuts héroïques : "J’ai démarré avec les cartes perforées dans un

tiroir, puis les bandes magnétiques sont arrivées. Et les imprimantes nous firent une fleur

avec les marguerites." Ensuite, les news groups commencent à fleurir à l’orée des années 90

et Jérôme n’est pas le dernier à s’activer sur les ancêtres des blogs. "Les fans de techno

côtoyaient d’autres groupes de discussion pas vraiment recommandables… Chacun avait

accès au web naissant. Dark avant l’heure", note Jérôme. 

Quand, il se retourne sur ses débuts professionnels, l’un des quatre fondateurs de FiveForty°

nous dévoile l’identité de son premier employeur : la DGSE. Il y est tenu à une confidentialité

de dix ans sur ses activités. Jérôme affecté à la branche militaire explique : "On nous

apportaient les bandes d’écoutes des transmissions cryptées du bloc de l’Est. On créait les

algorithmes pour décoder les clés de chiffrement pour surveiller les mouvements de troupes."

La routine, pendant cinq ans. Mais un jour, surprise. Son service reçoit par erreur une bande

qui ne lui est pas destiné. "Les mouvements étaient moins militaires, beaucoup plus intimes.

Un directeur d’usine de la RDA dévoilait la liste de ses maîtresses et de ses goûts particuliers…

", sourit Jérôme. Puis avec l’envie de découvrir d’autres horizons il crée sa propre SSII.

La guerre du Golfe éclate. Tension internationale extrême, intervention US, enjeux pétroliers…

L’arrêt brutal des investissements a raison de la jeune SSII. Jérôme devient alors RSI chez un

de ses anciens clients Gedimat.

Fait d'armes

Il écrit lui-même un logiciel de gestion qu’il va développer avant de basculer dix ans plus tard

sur un ERP AX Dynamics. Après une quinzaine d’années, Jérôme tente l’aventure du

consulting et trouve son premier client aux éditions de La Martinière. Sa mission : développer

l’ERP en place. Les clients s’enchaînent. Parmi eux : Geodis, avec un fait d’armes. Architecte

technique et développeur, il collabore avec le service IT sur un projet AX piloté par le métier de

la division finance. Seul expert de l’équipe opérations de la DSI, il doit gérer un gros problème

de traitement de données sur lequel plusieurs sociétés ont été sollicitées en vain. Selon lui le

traitement qui nécessitait trente-six heures pouvait être considérablement réduit. 

La division finance convaincue donne le go. Jérôme emploie tout son temps, congés compris

à réécrire le principe. "Au final, le traitement s’exécutera en moins d’une minute", résume

Jérôme. En parallèle, Jérôme crée Flexmind avec d’autres partenaires. Ce succès va lui

permettre de placer jusqu’à vingt personnes chez Geodis. Le décollage de Flexmind est

assuré. Après cinq ans chez Flexmind, des divergences de vues en termes de stratégie

entraînent Jérôme à revendre ses parts. Il rejoint FiveForty°.

Coup de froid très chaud

Une autre aventure commence, le nouveau cabinet de conseil en solutions Microsoft prend vite

de la hauteur. L’ascension, Jérôme en connaît quelques secrets puisque qu’il a longtemps pratiqué

le vol à voile. "Il existe deux façons de gagner de l’altitude en planeur", explique-t-il. "Vous tournez

à l’intérieur de colonnes d’air chaud ascendant ou vous profitez d’un effet de rebond du vent

sur les versants des collines." Pour autant, le vol sans moteur n’est pas toujours le monde de sérénité

qu’on imagine. "Alors que nous étions sur le chemin du retour, une pluie verglaçante nous a surpris.

L’aérodrome était de l’autre côté de la montagne et nous perdions de l’altitude à cause du

poids de la glace accumulée sur les ailes… Là, ça été un peu limite", se souvient l’associé de

FiveForty°. 

Ensuite, Jérôme se prend de passion pour la plongée, la moto et la cuisine où il s’est spécialisé

aussi dans la fermentation sur longue période des pâtes de cuisson. Mais la passion du métier

est la plus forte pour l’architecte système. Au fait des dernières évolutions, soucieux de

l’optimisation des technologies et à l’avant-garde de l’innovation, Jérôme participe aujourd’hui

à des projets Open Source. Son sujet du moment : les applications distribuées capables de

s’appliquer sur plusieurs machines à la fois. "C’est déterminant d’être toujours à la pointe

pour bien orienter nos clients quand ces sujets émergeront." °

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