En premier lieu, voulez-vous nous parler de votre domaine
d’activité et des spécificités de l’entreprise ?
Charles Toutain : Comme son nom l’indique, TrefilUnion
est spécialisé dans la fabrication de fils et de torons d’acier
pour servir une grande variété d’applications. Nous destinons
nos produits à l’automobile, la construction, l’énergie, les
infrastructures jusqu’à l’électroménager. Nous fabriquons aussi
bien des ressorts fins pour l’automobile que des produits lourds
pour les ponts et les aciers précontraints.
Quel est le contexte de l’intervention de FiveForty° ?
CT : A l’origine, avec le précédent intégrateur, nous avions
paramétré en priorité l’ensemble de la partie finance.
L’objectif était d’être fin prêts pour le basculement dans un
deuxième temps de la partie opérations. Mais, pour employer
un euphémisme, cela ne s’est pas très bien passé…
Pour quelle raison ?
CT : C’est davantage un faisceau de raisons. Parmi celles-ci,
l’implication insuffisante d’un directeur financier qui a laissé
l’intégrateur en roue libre sur le paramétrage. Ensuite en janvier
2020, mise en live partielle sans la partie opérations.
Puis, l’arrivée de la Covid retarde le basculement en octobre,
bien plus tard que prévu. Nous n’avions pas le choix car nous
devions être déconnectés de l’ERP d’ArcelorMittal au 1er
octobre, et donc être autonomes aussi bien sur la partie
opérations que sur le volet finance.
A un moment, la situation est devenue compliquée
CT : Tant bien que mal, nous avions démarré en même temps
les opérations et la finance. Mais les équipes finance n’ont réagi
que fin octobre aux modules mis en place un an auparavant.
Résultat : panique générale ! Les premières clôtures mensuelles
tournaient à la catastrophe avec en plus des actionnaires qui
demandaient les premiers résultats.
Comment avez-vous engagé FiveForty° ?
CT : Nous avions tout d’abord travaillé avec Maciré pour
reconnecter avec la partie finance. Il faisait un bon travail,
ça matchait bien avec les équipes et notre DAF. On s’est dit
que connaissant le contexte, Maciré pouvait être l’homme de
la situation sans repartir de zéro. A l’époque nous pensions qu’il
était placé par le premier intégrateur. J’ai compris par la suite
que Maciré était un consultant finance de FiveForty°.
Nous avons alors engagé l’opération de sous-traitance dans son
ensemble avec FiveForty°.
Quel bilan tirez-vous de l’intervention ?
CT : Tout s’est parfaitement déroulé. Je remarque que la
compétence métier de FiveForty° n’est pas usurpée. Et qu’au
passage, celle-ci est plutôt rare chez les intégrateurs !
Qu’appréciez-vous le plus dans leur prestation ?
CT : Ils ont repris une situation à la volée et ont fait preuve,
au-delà de leur réactivité, d’une compétence fonctionnelle et
technique qui a rassuré tout le monde. Ils ont été sollicités au
pied levé, ont répondu présent. Tout en jouant le jeu avec
l’intégrateur déjà en place.
Pour évoquer FiveForty que diriez-vous ?
CT : Je dirais qu’ils incarnent bien leur leimotiv “redonner
confiance aux utilisateurs dans l’outil ERP”. Et ce, même
dans les situations les plus critiques.
Selon vous, en quoi FiveForty se distingue des autres ?
CT : Ils ont su marquer leur identité par une concentration de
compétences finance dans leurs équipes ainsi que par une offre
Power BI qui les font vraiment sortir du lot.
Sur quels autres sujets pourriez-vous solliciter FiveForty°
à l’avenir ?
CT : Aujourd’hui, je gère plusieurs sociétés et je n’ai pas assez
de temps pour aller chercher les infos dans le système pour
extraire des tableaux de bord quotidiens. J’envisage donc
d’implémenter Power BI. Je sais qu’ils ont cette maîtrise de
l’outil et qu’ils pourront nous accompagner avec une équipe
dédiée.
Plus court, plus vite
A tel point d’ailleurs qu’il ne le quittera qu’à l’âge de trente-trois ans. Son père lui explique
que pour être tranquille dans la vie, il faut être sérieux. Il l’est. Mais à l’orée de la seconde,
la motivation décline. Un conseiller le remotive en lui parlant d’un BEP de comptabilité.
Obtenu brillamment, il rattrape sa route vers un bac G2 où la compta est reine.
Les résultats sont bons. On conseille à Michel de s’orienter vers de longues études.
Mais lui préfère un parcours plus court pour entrer plus vite dans la vie active.
Sa décision est prise, ce sera un BTS. Il enchaîne ensuite sur une maîtrise de gestion.
Comptable en uniforme
Et puis il a aussi des contraintes, notamment celles du service militaire "Pendant dix mois, à Montauban puis Vincennes" reprend Michel. Là, il endosse l’uniforme du comptable pour
s’occuper de la solde du contingent. "J’étais chanceux avec ce poste tranquille après des classes plus rugueuses", précise-t-il. Juste après l’armée, la chance l’attend encore dans une agence d’intérim. On lui propose de remplacer au poste de comptable une collaboratrice qui s’est cassée la jambe. "En fait, le PMU me met le pied à l’étrier", s’amuse Michel. Il y restera trois ans. Puis d’autres horizons s’ouvrent à lui. Notamment publicitaires chez Publicis Conseil.
Des sociétés de services l’accueillent. Jusqu’à Kaba. Ce spécialiste des portes coulissantes lui ouvre les siennes. "Souhaitant renouveler leur système d’information, ils avaient besoin de mon expérience pour être accompagnés dans ce changement". Les solutions du marché ne plaisent pas à Michel. C’est alors que des consultants de Navision viennent le voir. Leur offre plait au Directeur comptable de Michel et l’implémentation est mise place avec succès. Michel ayant découvert le métier de consultant est tenté par l’activité. Intéressé par la compétence comptable de Michel, Navision lui propose de le former au consulting.
Puis Michel entre chez Colombus, intégrateur AX. Les projets s’enchaînent, spécialement
chez Saint-Gobain Glass. Ensuite, il entre chez Avanade et quelques années plus tard
il intègre l’ESN Viseo.
En premier lieu, voulez-vous nous parler de votre domaine d’activité et des spécificités de l’entreprise ?
Charles Toutain : Comme son nom l’indique, TrefilUnion est spécialisé dans la fabrication de fils et de torons d’acier pour servir une grande variété d’applications. Nous destinons nos produits à l’automobile, la construction, l’énergie, les infrastructures jusqu’à l’électroménager. Nous fabriquons aussi bien des ressorts fins pour l’automobile que des produits lourds pour les ponts et les aciers précontraints.
Premiers contacts
Deux ans après, Flexmind le contacte avec un argument décisif : "Ici tu n’auras pas une kyrielle de projets mais un seul, important et captivant". C’est ainsi que Michel démarre en 2012 sur le projet Geodis et fait la connaissance de nombre de ses collègues d’aujourd’hui. En 2017, il quitte le salariat pour le statut d’indépendant et opère pour le groupe Saur. "Pendant ce temps, Geodis s’était séparé de Flexmind pour rejoindre FiveForty°. Jonathan m’appelle pour me proposer de reprendre en sous-traitant sur Geodis en conservant mon nouveau statut", résume le consultant finance Dynamics.
"De toute façon, quand Jonathan a voulu monter sa structure, je n’ai pas hésité une seule seconde". Celui que la chance n’a jamais lâché précise : "Ici, on ne sent pas le poids de la structure, l’aspect famille est palpable. Ce lien social ajouté à la diversité des clients, c’est ce qui donne envie de bosser avec eux".°
Quel est le contexte de l’intervention de FiveForty° ?
CT : A l’origine, avec le précédent intégrateur, nous avions paramétré en priorité l’ensemble de la partie finance. L’objectif était d’être fin prêts pour le basculement dans un deuxième temps de la partie opérations. Mais, pour employer un euphémisme, cela ne s’est pas très bien passé…
Pour quelle raison ?
CT : C’est davantage un faisceau de raisons. Parmi celles-ci, l’implication insuffisante d’un directeur financier qui a laissé l’intégrateur en roue libre sur le paramétrage. Ensuite en janvier 2020, mise en live partielle sans la partie opérations. Puis, l’arrivée de la Covid retarde le basculement en octobre, bien plus tard que prévu. Nous n’avions pas le choix car nous devions être déconnectés de l’ERP d’ArcelorMittal au 1er octobre, et donc être autonomes aussi bien sur la partie opérations que sur le volet finance.
A un moment, la situation est devenue compliquée
CT : Tant bien que mal, nous avions démarré en même temps les opérations et la finance. Mais les équipes finance n’ont réagi que fin octobre aux modules mis en place un an auparavant. Résultat : panique générale ! Les premières clôtures mensuelles tournaient à la catastrophe avec en plus des actionnaires qui demandaient les premiers résultats.
Comment avez-vous engagé FiveForty° ?
CT : Nous avions tout d’abord travaillé avec Maciré pour reconnecter avec la partie finance. Il faisait un bon travail, ça matchait bien avec les équipes et notre DAF. On s’est dit que connaissant le contexte, Maciré pouvait être l’homme de la situation sans repartir de zéro. A l’époque nous pensions qu’il était placé par le premier intégrateur. J’ai compris par la suite que Maciré était un consultant finance de FiveForty°. Nous avons alors engagé l’opération de sous-traitance dans son ensemble avec FiveForty°.
Quel bilan tirez-vous de l’intervention ?
CT : Tout s’est parfaitement déroulé. Je remarque que la compétence métier de FiveForty° n’est pas usurpée. Et qu’au passage, celle-ci est plutôt rare chez les intégrateurs !
Qu’appréciez-vous le plus dans leur prestation ?
CT : Ils ont repris une situation à la volée et ont fait preuve, au-delà de leur réactivité, d’une compétence fonctionnelle et technique qui a rassuré tout le monde. Ils ont été sollicités au pied levé, ont répondu présent. Tout en jouant le jeu avec l’intégrateur déjà en place.
Pour évoquer FiveForty que diriez-vous ?
CT : Je dirais qu’ils incarnent bien leur leimotiv “redonner confiance aux utilisateurs dans l’outil ERP”. Et ce, même dans les situations les plus critiques.
Selon vous, en quoi FiveForty se distingue des autres ?
CT : Ils ont su marquer leur identité par une concentration de compétences finance dans leurs équipes ainsi que par une offre Power BI qui les font vraiment sortir du lot.
Sur quels autres sujets pourriez-vous solliciter FiveForty° à l’avenir ?
CT : Aujourd’hui, je gère plusieurs sociétés et je n’ai pas assez de temps pour aller chercher les infos dans le système pour extraire des tableaux de bord quotidiens. J’envisage donc d’implémenter Power BI. Je sais qu’ils ont cette maîtrise de l’outil et qu’ils pourront nous accompagner avec une équipe dédiée.
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