Bonne étoile
En Tunisie, le jeune Issam adorait la techno, mais pas encore celle des ERP. Celle qui lui parle alors, c’est celle qu’il écoute.
“Dans les années 2000, avec mon oncle qui était DJ, j’ai touché pas mal aux platines, aux vinyles… je me serais bien vu faire ce métier”, observe Issam. Mais à l’époque, envisager l’avenir avec cette activité ne faisait pas trop danser les certitudes. Bien plus tard, une autre techno rythmera sa vie.
"FiveForty° est en pleine expansion, c’est une ESN attractive aussi bien
pour un débutant qui a tout à y gagner que pour des spécialistes qui
pourront toujours monter en compétences sur des clients très diversifiés".
Avec enthousiasme, Michel nous dépeint son cadre de travail. On lui
demande alors d’évoquer sa scolarité. "Je suis un repris de justesse", confie
Michel avec un clin d’œil. A son élocution très rapide assortie d’un ton
enjoué, on imagine facilement un enfant turbulent, toujours prêt à faire
les quatre cents coups. Pas du tout. C’est un garçon sage qui se souvient
d’une enfance heureuse dansun cocon familial douillet.
En Tunisie, le jeune Issam adorait la techno, mais pas
encore celle des ERP. Celle qui lui parle alors, c’est celle
qu’il écoute.
“Dans les années 2000, avec mon oncle qui était DJ, j’ai
touché pas mal aux platines, aux vinyles… je me serais bien vu
faire ce métier”, observe Issam. Mais à l’époque, envisager
l’avenir avec cette activité ne faisait pas trop danser les
certitudes. Bien plus tard, une autre techno rythmera sa vie.
A 18 ans, bac en poche, cap sur Sfax. Le garçon facétieux de son enfance qui
inventait des farces et des jeux avec les copains du quartier a fait place à un jeune
homme posé. Issam choisit la filière Economie Financière et Bancaire et obtient sa
maîtrise. Une banque l’accueille sur un poste en intérim. En parallèle, il prépare un
master en management dans une école d’ingénieurs… les vendredis, samedis et
dimanches. Diverses missions se succèdent. Puis en 2007, il intègre le service
financier d’un groupe pétrolier. En même temps, il prépare un deuxième master en
audit finance. En 2012, le responsable RH d’Heineken en Tunisie remarque son CV
sur internet. Issam est stimulé par le challenge de travailler dans une multinationale
composée de sept business units. Le voilà, quatre ans plus tard promu responsable
financier de Sonobra, filiale du groupe. Dans ce nouveau cadre, les bases du futur
d’Issam se dessinent.
Après la migration de l’outil Navision qui s’est parfaitement déroulée, il assure à
distance le soutien d’une implantation en Algérie et d’une autre en Côte d’Ivoire.
Plusieurs déplacements à Abidjan sont nécessaires pour opérer une nouvelle
migration jusqu’au Go Live. “Là, ça a été le déclic”, souligne Issam.
Les développeurs et les consultants de l’intégrateur remarquent ses qualités.
Ceux-ci lui demandent pourquoi il ne s’orienterait pas vers le consulting fonctionnel.
Dès lors, la perspective de se confronter à de nouveaux challenges, d’autres projets
pour dynamiser son quotidien le stimulent. Malgré la difficulté en Tunisie de se
reconvertir à trente-neuf ans, Issam cherche alors des cabinets d’intégration.
Mais son entourage s’inquiète et lui demande s’il a bien réfléchi, si lâcher la proie
pour l’ombre à son âge n’est pas trop risqué ? “J’ai tenu bon”, dit fièrement Issam.
En 2019, il est recruté par IDM Services sur un projet D365 à mettre en place de A à Z
pour une grande compagnie de télécoms en Lybie. En attendant le démarrage,
Issam assure des tâches de TMA pour un autre client pétrolier sur AX 2012.
Les week ends, Issam les passe avec ses amis sur les plages de Tunisie où il s’adonne
à sa passion pour la pêche de nuit au bord du rivage. “La nuit tout est plus calme,
plus tranquille. On se concentre juste sur la canne, le moulinet et les appâts. C’est le
zen absolu. Les dorades, les marbrés ou les bars sont toujours au rendez-vous.
La nuit, ça mord bien mieux”, indique-t-il. Mais sa famille lui manque. Sa femme est
en France où elle a fait ses études de finances bancaires. Issam la rejoint chaque
mois pour profiter de son petit Mehdi, né il y a peu. Mais un jour, son fils encore
bébé, tombe malade. Seule en France, la maman ne trouve aucune aide auprès de
ses voisins pour aller chercher les médicaments prescrits par SOS médecins. Pour
Issam, c’est un choc. Il décide alors de venir les retrouver définitivement en France.
Aujourd’hui, tout va bien. Son travail chez FiveForty° correspond à ses attentes.
“Dès le premier entretien, j’ai senti beaucoup de sincérité avec Catherine.
J’ai aimé ses paroles sur l’approche de la société, les valeurs, l’importance de
l’équipe - qu’elle appelle la tribu - le mélange des cultures aussi”, se souvient Issam.
Le second entretien avec Alexandre et Amel le conforte dans sa première
impression. “Dès le début, Maciré, Alexandre, Ahmed, Wiem et Loc m’ont aidé.”
Au quotidien, Issam se sent épaulé, jamais seul. Aujourd’hui, chez FiveForty°, il gère
la TMA pour plusieurs clients : “Quand, parmi les tickets que je reçois, l’un d’eux me
pose un problème, je peux compter sur l’équipe pour le partage de leurs
expériences et leurs connaissances.” L’ambiance générale le change aussi de ce
qu’il a connu en Tunisie. “Là-bas, la hiérarchie est stricte, l’environnement est
pesant ”, pointe-t-il. “Chez FiveForty°, tu peux échanger facilement, les associés sont
accessibles et sympas, comme les collègues. Je m’y sens mieux que bien. Un peu
comme en famille !” °
Plus court, plus vite
A 18 ans, bac en poche, cap sur Sfax. Le garçon facétieux de son enfance qui inventait des farces et des jeux avec les copains du quartier a fait place à un jeune homme posé. Issam choisit la filière Economie Financière et Bancaire et obtient sa maîtrise. Une banque l’accueille sur un poste en intérim. En parallèle, il prépare un master en management dans une école d’ingénieurs… les vendredis, samedis et dimanches. Diverses missions se succèdent. Puis en 2007, il intègre le service financier d’un groupe pétrolier. En même temps, il prépare un deuxième master en audit finance. En 2012, le responsable RH d’Heineken en Tunisie remarque son CV sur internet. Issam est stimulé par le challenge de travailler dans une multinationale composée de sept business units. Le voilà, quatre ans plus tard promu responsable financier de Sonobra, filiale du groupe. Dans ce nouveau cadre, les bases du futur d’Issam se dessinent.
A tel point d’ailleurs qu’il ne le quittera qu’à l’âge de trente-trois ans. Son père lui explique
que pour être tranquille dans la vie, il faut être sérieux. Il l’est. Mais à l’orée de la seconde,
la motivation décline. Un conseiller le remotive en lui parlant d’un BEP de comptabilité.
Obtenu brillamment, il rattrape sa route vers un bac G2 où la compta est reine.
Les résultats sont bons. On conseille à Michel de s’orienter vers de longues études.
Mais lui préfère un parcours plus court pour entrer plus vite dans la vie active.
Sa décision est prise, ce sera un BTS. Il enchaîne ensuite sur une maîtrise de gestion.
Comptable en uniforme
Et puis il a aussi des contraintes, notamment celles du service militaire "Pendant dix mois, à Montauban puis Vincennes" reprend Michel. Là, il endosse l’uniforme du comptable pour
s’occuper de la solde du contingent. "J’étais chanceux avec ce poste tranquille après des classes plus rugueuses", précise-t-il. Juste après l’armée, la chance l’attend encore dans une agence d’intérim. On lui propose de remplacer au poste de comptable une collaboratrice qui s’est cassée la jambe. "En fait, le PMU me met le pied à l’étrier", s’amuse Michel. Il y restera trois ans. Puis d’autres horizons s’ouvrent à lui. Notamment publicitaires chez Publicis Conseil.
Des sociétés de services l’accueillent. Jusqu’à Kaba. Ce spécialiste des portes coulissantes lui ouvre les siennes. "Souhaitant renouveler leur système d’information, ils avaient besoin de mon expérience pour être accompagnés dans ce changement". Les solutions du marché ne plaisent pas à Michel. C’est alors que des consultants de Navision viennent le voir. Leur offre plait au Directeur comptable de Michel et l’implémentation est mise place avec succès. Michel ayant découvert le métier de consultant est tenté par l’activité. Intéressé par la compétence comptable de Michel, Navision lui propose de le former au consulting.
Puis Michel entre chez Colombus, intégrateur AX. Les projets s’enchaînent, spécialement
chez Saint-Gobain Glass. Ensuite, il entre chez Avanade et quelques années plus tard
il intègre l’ESN Viseo.
Après la migration de l’outil Navision qui s’est parfaitement déroulée, il assure à distance le soutien d’une implantation en Algérie et d’une autre en Côte d’Ivoire. Plusieurs déplacements à Abidjan sont nécessaires pour opérer une nouvelle migration jusqu’au Go Live. “Là, ça a été le déclic”, souligne Issam. Les développeurs et les consultants de l’intégrateur remarquent ses qualités. Ceux-ci lui demandent pourquoi il ne s’orienterait pas vers le consulting fonctionnel. Dès lors, la perspective de se confronter à de nouveaux challenges, d’autres projets pour dynamiser son quotidien le stimulent. Malgré la difficulté en Tunisie de se reconvertir à trente-neuf ans, Issam cherche alors des cabinets d’intégration. Mais son entourage s’inquiète et lui demande s’il a bien réfléchi, si lâcher la proie pour l’ombre à son âge n’est pas trop risqué ? “J’ai tenu bon”, dit fièrement Issam. En 2019, il est recruté par IDM Services sur un projet D365 à mettre en place de A à Z pour une grande compagnie de télécoms en Lybie. En attendant le démarrage, Issam assure des tâches de TMA pour un autre client pétrolier sur AX 2012.
Premiers contacts
Deux ans après, Flexmind le contacte avec un argument décisif : "Ici tu n’auras pas une kyrielle de projets mais un seul, important et captivant". C’est ainsi que Michel démarre en 2012 sur le projet Geodis et fait la connaissance de nombre de ses collègues d’aujourd’hui. En 2017, il quitte le salariat pour le statut d’indépendant et opère pour le groupe Saur. "Pendant ce temps, Geodis s’était séparé de Flexmind pour rejoindre FiveForty°. Jonathan m’appelle pour me proposer de reprendre en sous-traitant sur Geodis en conservant mon nouveau statut", résume le consultant finance Dynamics.
"De toute façon, quand Jonathan a voulu monter sa structure, je n’ai pas hésité une seule seconde". Celui que la chance n’a jamais lâché précise : "Ici, on ne sent pas le poids de la structure, l’aspect famille est palpable. Ce lien social ajouté à la diversité des clients, c’est ce qui donne envie de bosser avec eux".°
Les week ends, Issam les passe avec ses amis sur les plages de Tunisie où il s’adonne à sa passion pour la pêche de nuit au bord du rivage. “La nuit tout est plus calme, plus tranquille. On se concentre juste sur la canne, le moulinet et les appâts. C’est le zen absolu. Les dorades, les marbrés ou les bars sont toujours au rendez-vous. La nuit, ça mord bien mieux”, indique-t-il. Mais sa famille lui manque. Sa femme est en France où elle a fait ses études de finances bancaires. Issam la rejoint chaque mois pour profiter de son petit Mehdi, né il y a peu. Mais un jour, son fils encore bébé, tombe malade. Seule en France, la maman ne trouve aucune aide auprès de ses voisins pour aller chercher les médicaments prescrits par SOS médecins. Pour Issam, c’est un choc. Il décide alors de venir les retrouver définitivement en France.
Aujourd’hui, tout va bien. Son travail chez FiveForty° correspond à ses attentes. “Dès le premier entretien, j’ai senti beaucoup de sincérité avec Catherine. J’ai aimé ses paroles sur l’approche de la société, les valeurs, l’importance de l’équipe - qu’elle appelle la tribu - le mélange des cultures aussi”, se souvient Issam. Le second entretien avec Alexandre et Amel le conforte dans sa première impression. “Dès le début, Maciré, Alexandre, Ahmed, Wiem et Loc m’ont aidé.” Au quotidien, Issam se sent épaulé, jamais seul. Aujourd’hui, chez FiveForty°, il gère la TMA pour plusieurs clients : “Quand, parmi les tickets que je reçois, l’un d’eux me pose un problème, je peux compter sur l’équipe pour le partage de leurs expériences et leurs connaissances.” L’ambiance générale le change aussi de ce qu’il a connu en Tunisie. “Là-bas, la hiérarchie est stricte, l’environnement est pesant”, pointe-t-il. “Chez FiveForty°, tu peux échanger facilement, les associés sont accessibles et sympas, comme les collègues. Je m’y sens mieux que bien. Un peu comme en famille !” °
Paris - FRANCE / New York - USA
©2021 FiveForty°. Tous Droits Réservés.
Conception et réalisation :